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06 février 2011

Honda NSX : Officiellement de retour dans les projets de Honda

Honda NSX : Officiellement de retour dans les projets de Honda: "

L’information ne vient pas de n’importe qui puisque c’est Takashi Ito, le patron de Honda qui a lui même confirmé la chose. La Honda NSX ( ou HSV ) est de nouveau en cours de développement dans les bureaux de R&D du constructeur japonais.

La patron de Honda estime que les conditions actuelles du marché permettent de relancer un programme interrompu avec la crise de 2008. Takashi Ito estime faut aussi prendre la mesure du marché et de la concurrence. Ainsi il sous entend que les succès des Lexus LFA et Nissan GT-R est un élément à prendre en compte dans la relance du programme. Pas beaucoup d’éléments pour le moment, mais il n’est pas certain que la future Honda NSX reprenne l’architecture de la NSX originelle car Mr Tito laisse entendre que la future supercar de Honda pourrait emprunter pas mal de choses à la HSV-01 GT de compétition et entre autres, son implantation mécanique avec moteur en position centrale avant.

Une affaire à suivre dans les mois qui viennent car on peut imaginer découvrir avant deux ans la version de série de cette nouvelle supercar japonaise.

Via Autoblog, Mainichi.

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Billet : Honda NSX : Officiellement de retour dans les projets de Honda

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Pour le plaisir (46) : Roti birman

Pour le plaisir (46) : Roti birman: "

Ma première rencontre avec la cuisine birmane s’est faite tout récemment au restaurant Irrawaddi, situé au n°24 de la rue 334 à Phnom Penh, quartier Beung Keng Kang, entre les rues 51 et 57. Ma connaissance de la cuisine birmane donnant une idée assez exacte du zéro absolu, j’ai laissé la patronne guider mes pas. Quelques épisodes de notre série « Pour le plaisir » vont donc être consacrés à la cuisine du Myanmar.

La première question qui me fut posée par la patronne fut de savoir si je préférais du riz, ou du roti. Déduisant que le roti en question était un pendant au riz, et non une pièce de viande cuite au four comme semblait le suggérer la phonétique du mot, et n’ayant pas la moindre idée de ce que cela pouvait être, je me jetai à l’eau.

Il s’agit en fait d’une galette de farine de blé, contenant dans sa recette une quantité d’huile non négligeable, cuite sur une plaque. Agrémentée de la sauce du curry de poulet aux pois cassés que j’ai eu l’occasion de goûter au cours du même repas, ladite galette s’est révélée tout à fait adaptée. Seul petit regret peut-être : qu’elle ait été seule. Sa sœur jumelle aurait été la bienvenue lors de ce déjeuner. Prix : seulement 1 dollar.

Voulant en savoir plus sur le roti, son histoire, sa composition, je me suis mis en quête de la bête par l’entremise de mon moteur de recherche favori, pour découvrir au final qu’il s’agit d’une galette d’origine indienne (ce qui, en raison de la proximité géographique du Myanmar et de l’Inde, n’est finalement pas étonnant), appelée aussi « Indian flat bred », littéralement « pain indien plat »). J’en ai même trouvé une recette, en anglais, que vous pourrez découvrir ici.

La photo qui illustre le présent billet a été prise par votre serviteur à l’occasion du déjeuner susmentionné.



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Pour le plaisir (2) : Salade de fleur de bananier au porc (ញាំត្រយូងចេកសាច់ជ្រូក)

Pour le plaisir (2) : Salade de fleur de bananier au porc (ញាំត្រយូងចេកសាច់ជ្រូក): "

(Ce billet est une reprise du billet éponyme publié précédemment sur Sinogastronomie.com)

J’avais donné déjà ma recette de la salade de fleur de bananier, directement adaptée d’un petit recueil de recettes cambodgiennes, sur l’ancienne version de Sinogastronomie. J’ai découvert il y a quelques jours la version du restaurant Romdeng (រំដេង), situé à Phom Penh, rue 174, à une vingtaine de mètres à l’ouest de la rue 51 (la rue Pasteur, si vous préférez).

J’avoue sans honte que la version de Romdeng est supérieure, et pas de peu, à la mienne. Tout d’abord, la chef a choisi d’intégrer à cette salade non les classiques filaments de blanc de poulet, mais du porc, du « bacon » dit la carte (il s’agit de lard cuit tranché en fines lamelles, où le gras et le maigre sont à égalité). Le résultat est presque babylonien, et je bénis en l’occurence le fait qu’Émilie ne soit pas très « viande » et qu’elle ait en outre opté ce jour-là pour la salade de vermicelle de Kampot (dont la photo sera le prétexte au prochain numéro de la série « Pour le plaisir »). Ma « vinaigrette », qui n’est pourtant pas mauvaise, pourrait s’inspirer pour le plus grand profit de notre gastronomie domestique de celle du Romdeng. Je n’en ai pas deviné toutes les subtilités, mais j’ai remarqué dans cette sauce la présence de piment rouge émincé très fin, qui relève subtilement la saveur sans donner trop de piquant à l’ensemble.

Cette salade me semble d’ailleurs un prétexte suffisant pour retourner au Romdeng, que, au passage, je conseille vivement à tous les amateurs de gastronomie cambodgienne moderne (outre cette salade, permettez-moi de vous recommander en particulier le curry au boeuf, la terrine de porc au prâhoc, l’amok dans sa feuille de bananier….)



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Gérard Rabaey, un chef 3 étoiles, à votre table !

Gérard Rabaey, un chef 3 étoiles, à votre table !: "
Je dois bien avouer que mon coin bibliothèque consacré à ma passion est assez pauvre. Quelques bouquins sur la cuisine asiatique (Thaïe, indien, curry), des livres consacrés à la pâtisserie, au chocolat et une excellente trilogie consacrée à la cuisine italienne.

Il y a aussi ces livres que j’aime contempler, des livres des grands chefs étoilés…des livres superbement illustrés, mais, avouons-le, plus informatifs que pratiques…. Des produits souvent introuvables ou hors de prix, des explications très sommaires, il faut déjà être cuisinier pour comprendre et réaliser la recette.

Je vous parlais déjà en ces mots dans mon billet consacré à une recette du chef suisse triplement étoilé Gérard Rabaey. Sa recette de crème de bolet m’avait vraiment surpris, tant par sa finesse et sa relative simplicité, mais tout y était : la forme, le goût. Un très grand plat. Cette recette était issue de son premier livre, le Pont des délices. Un très bel ouvrage, mais très technique….mais

Mais Gérard Rabaey a eu l’excellentissime idée de faire un livre nettement plus abordable : Gérard Rabaey à votre table, recettes faciles, souvent végétariennes et produits accessibles. Que demander de plus ? Un superbe livre publié par les éditions Favre, illustré par de magnifiques photos de Pierre-Michel Delessert. Mais ce n’est pas tout, ils ont eu la grande idée de fournir un CD-ROM contenant toutes les recettes du livre. Pourquoi ? Pour pouvoir imprimer la recette du jour et ne pas salir le livre en cuisine même ! Génial !

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Voici une recette tirée de ce livre :

Potage de petits pois à la menthe, ravioles au fromage de chèvre


------- Ingrédients (pour 4 pers.) -------

Potage :
400g de petits pois frais écossés (ou surgelé selon la saison)
1 échalote émincée
4dl de bouillon de légumes
5cl de crème entière
20g de beurre
4 feuilles de menthe
Sel et poivre

Raviole :
1 portion de pâte pour nouille (voir après)
100g de fromage de chèvre (style chevroux)
Sel et poivre


Garniture
4càs de petits pois mis de côté après cuisson
4càs de fromage de chèvre frais
4càs de mascarpone
2 feuilles de menthe finement ciselée
Sel, poivre


La recette de base propose une crème fouettée comme garniture. C’est aussi très bon, mais cela fond très vite dans le potage chaud, je l’ai donc remplacée par ma préparation un peu plus épaisse et qui fond moins vite.

On trouve facilement de la pâte pour faire des nouilles dans le commerce. Sinon vous pouvez la faire aussi vous-même et l’étaler finement à l’aide d’un laminoir pour pâte.

---------- Préparation ----------

Temps de préparation :40min
Temps de cuisson :10min

Cuire les petits pois dans un grand volume d’eau salée pendant 5-6 min. Une fois cuits, les égoutter et refroidir dans un grand volume d’eau glacée (garde la belle couleur verte). Prélever quelques pois pour la garniture.

Dans une casserole, faire suer l’échalote dans le beurre (sans coloration). Ajouter les petits pois, mélanger et mouiller avec le bouillon. Porter rapidement à ébullition, ajouter la crème et la menthe puis mixer finement. Passer à travers un tamis fin. Réserver

Couper des cercles de 6-8cm de diamètre de pâte, ajouter au centre un peu de la farce faite avec le fromage de chèvre, sel poivre et basilic. Fermer comme un baluchon en serrant bien le haut (même avec une petite ficelle si besoin). Cuire les ravioles pendant 3 min dans un grand volume d’eau salée, égoutter délicatement.

Verser 1càs de petits pois dans chaque assiette, recouvrir avec le potage bien chaud, ajouter 3 ravioles par assiette et une belle quenelle de la préparation chèvre/mascarpone.

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-----Bon appétit!-----

Une recette très agréable, la menthe se mariant très bien avec les petits pois, tout comme le chèvre. Une très jolie entrée végétarienne qui saura certainement séduire vos convives !
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AMC Pacer : party time…

AMC Pacer : party time…: "


En 1975, les Etats Unis nous offrent une nouveauté bien étonnante : avec son style décalé, sa composition originale, sa personnalité et la sonorité aussi charmante que l’enviable plastique de sa figure de proue le laisse suggérer, le groupe Blondie aura marqué les années à venir et amorcé la mouvance rock new wave. La même année, AMC lance la Pacer. Nouveauté étonnante, certes, mais la comparaison s’arrête là : une carrière courte et un succès en feu de paille, la Pacer est une vraie AMC. Retour sur une voiture pas comme les autres.

AMC est le quatrième constructeur américain, loin, très loin derrière les Big Three. Issu de la fusion de plusieurs constructeurs (Nash et Hudson), AMC se porte acquéreur de Jeep dès le début des années 70. Les tous terrains servent de vache à lait à ce groupe presque moribond peinant à renouveler sa gamme de véhicules particuliers. Et plutôt que de se laisser aller au gaspillage et à la banalité, AMC fait de son mieux pour anticiper les tendances et fonctionner au plus juste. Lean, dirait-on de nos jours. Avant de précéder l’engouement pour les crossovers et les SUV avec sa gamme Eagle et le Cherokee dès le début des 80’s, AMC sent le vent tourner en faveur des compactes et du renforcement de la législation quant à la sécurité passive. Bien avant que les Ford Pinto ne prennent feu et que l’on arbitre du coût de la vie des clients, le petit constructeur américain développe une « compacte » anticipant les normes à venir. Normes que les Big Three parviendront d’ailleurs à faire plier à coup de lobbying…

Et comment produire une petite voiture lorsque l’on a essentiellement de grandes voitures dans son portfolio et pas les moyens de modifier en profondeur ses lignes de productions ? En faisant une voiture courte mais large. Courte… Il est nécessaire de relativiser : avec 4,32 mètres, elle dépasse une « grande » R16 de 10 bons centimètres ; le Nouveau Monde est un référentiel à part. En revanche, sa largeur portant à 1,96 mètres la rendait directement comparable à une grosse Oldsmobile Toronado.

Issue de la créativité et de la volonté d’anticipation de l’équipe de Richard Teague (à qui l’on doit aussi la Gremlin, autre compacte d’AMC), la Pacer se targue d’avoir près du tiers de sa surface composée de vitrages. Quant à la carrosserie, elle se montre asymétrique, la portière passager est plus longue que celle du conducteur afin de permettre un meilleur accès aux places arrières depuis le côté le plus sécurisant. Une astuce qui se trouvera plus de 20 ans après lors du premier restylage du Ford Windstar, le monospace tentant alors de racheter l’absence de porte latérale coulissante côté gauche face à ses rivaux du groupe Chrysler par cet artifice peu convaincant [difficile de croire que cette médiocrité roulante était contemporaine de l’Espace III, soit dit en passant]. Une voiture à vivre avant l’heure, en quelque sorte. A vivre et à survire d’ailleurs : les normes américaines en termes de sécurité passive devant se durcir fortement dès le début des années 80, la Pacer se dote d’un arceau central dont la présence a influencé le style des montants centraux et du pavillon. La législation ayant fini par être moins sévère que prévu, l’arceau est abandonné mais le style extérieur en a gardé les stigmates.

Dépourvue de gouttière de pavillon et douée d’un Cx de 0,34, la Pacer s’avère aérodynamique, caractéristique bien vue en ces temps de choc pétrolier. Mais cela ne suffit pas, encore eût-il fallu des motorisations à la hauteur. Un moteur rotatif est initialement envisagé et développé avec GM sur un brevet Wankel. Mais plutôt que de suivre l’école Citroën (i.e. commercialiser un moteur non fiable) ou l’école Mazda (fiabiliser et vendre), les américains préfèrent stopper le développement d’un moteur coûteux en R&D et difficile à fiabiliser en plus d’être assez gourmand. C’est finalement un binôme de vieux L6 d’origine GM qui s’acquittera de déplacer la lourde carrosserie de la Pacer. Car en dépit de la suppression de l’arceau central, la voiture reste victime d’un certain embonpoint. Oubliez toute velléité dynamique. De toutes manières, l’essieu arrière rigide et les ressorts à lames vous rappelleront à l’ordre. La Pacer est une américaine d’alors et le revendique : son châssis fait fi de la modernité.

Commercialisée en 1975 et produite à Kenosha dans le Wisconsin, la Pacer étonne par son style résolument différent de ce qui se fait alors. Sa grande largueur est sensée rassurer les clients de grosses voitures susceptibles de se sentir à l’étroit dans une compacte.  Une clientèle absolument pas rassurée par le design (et l’image d’AMC) à qui la marque accordera une nouvelle variante de carrosserie dès 1977 : un break d’allure plus conventionnelle habillé par d’inévitables woodies. Son arrivée limite l’inexorable chute des ventes dont 1975 restera de loin la meilleure année avec 145 000 exemplaires vendus. Passé l’engouement des débuts et l’accueil favorable de la presse, les ventes chutent dramatiquement pour finir à moins de 1800 exemplaires 5 ans après. Entre autre évolution, on retiendra l’apparition du V8 (et de la nouvelle face avant) en 1978. Les performances augmentent un peu, la consommation aussi, la courbe des ventes, en revanche peine à trouver un point d’inflexion.

La Pacer s’éteint à la fin de l’année 1980 après une production de 278 344 unités, sans laisser de remplaçante derrière elle, évoquant un souvenir de sympathie ou de haine selon le point de vue de l’esthète autoproclamé. Fort décrié, son style aura pourtant fortement influencé celui d’une voiture que tout oppose : une sportive allemande, la Porsche 928, reprend bien des gimmicks de l’AMC. Son designer l’avoue d’ailleurs bien volontiers. A ceci près que la Porsche innove avec ses boucliers intégrés à la ligne du véhicule, 20 ans avant que cela ne devienne la norme tandis que la voiture, plus basse et plus qualitative est bien plus élégante. A titre personnel, je vois encore un véhicule influencé par l’AMC Pacer : une voiture courte, large, copieusement vitrée et au physique que l’on qualifiera  pudiquement de différent… Le monospace Fiat Multipla peut revendiquer quelque ascendance avec l’américaine. Quant à notre designer maison, il a imaginé une déclinaison moderne de la bête.

En , la voiture est importée par Jean Charles et fait le bonheur de stars comme Brigitte Bardot ou Coluche. Le marché danois lui réserve un accueil correct du fait de la fiscalité réduite accordée aux véhicules dépourvus de banquette arrière. La Pacer 2 places est née… Les parisiens peuvent régulièrement en croiser une aux abords de la Place des Vosges tandis que les cinéphiles l’auront aperçue dans plusieurs films comme L’Aile ou La Cuisse ou les deux volets de Wayne’s World. Je vous laisse d’ailleurs devant un bon vieux tube de Queen.

Via Wikipedia, American-Motors.de, The Speed Age.

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Lamborghini Gallardo LP 560-4 Bicolore

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Lamborghini Gallardo LP 560-4 Bicolore
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