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13 février 2011
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Le risotto, c'est bon! Pourquoi s'en priver ?
Voici donc une petite recette rapide et simple à préparer qui pourra être servie en petite portion en entrée ou voir même comme plat, selon la taille
130g de riz pour risotto
1 petit oignon finement émincé
2càs d’huile d’olive
1dl de vin blanc
Bouillon de légumes
Beurre
Parmesan fraîchement râpé
1 petite courgette
3-4 poignées d’épinards frais
Bouillon de légumes
5cl de crème
Sel et poivre
Un cépage fin et équilibré comme le pinot noir va à merveille avec ce plat.
Un vin du Valais avec ce Pinot Noir Grand Cru de Salquenen. Depuis 1988, ce grand Cru est soumis aux exigences qualitatives les plus sévères de Suisse.
Les piliers de ce label sont impitoyables. Les rendements ne doivent pas dépasser 800 gr au mètre carré. La teneur en sucre des raisins doit être supérieure à 96° Oechsle. Ne sont admises que des grappes produites de manière à respecter l'environnement, selon les normes de la production intégrée PI. Toute chaptalisation est interdite. La vinification et la maturation en barriques ne sont pas admises.
Un vin d’une très grande classe que ce millésime 2008. Une très belle finesse pour un vin abordable (environ 25.- Sfr). Une très belle découverte
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Temps de préparation :30min
Temps de cuisson :20 +10min
Commencer par faire la crème :
Détailler la courgette (avec la peau, mais sans les pépins de la partie centrale) en petits morceaux. Bien laver les épinards et les équeuter (la tige plus dure). Faire fondre une noix de beurre dans une casserole, y faire revenir les courgettes et les épinards 2min sur feux doux. Recouvrir avec un peu de bouillon et laisser cuire pendant 10min avec le couvercle (les courgettes doivent être bien cuites). Mixer le tout, passer au chinois, ajouter la crème et rectifier l’assaisonnement. Réserver pour la suite.
Faire chauffer l'huile d'olive dans une casserole puis faire fondre l'oignon émincé sur feux doux (SANS coloration). Ajouter le riz et remuer gentiment pour le nacrer (les grains deviennent plus 'translucides'). Mouiller avec le vin et mélanger bien jusqu'à évaporation quasi totale du liquide.
Mouiller ensuite avec le bouillon CHAUD petit à petit (en 5-6 fois) sur feux doux (feu sur 3 chez moi, 6 étant le max) pendant environ 18 minutes. Le liquide doit juste recouvrir le riz, à peine.
4 min avant la fin de la cuisson, ajouter une noix de beurre et un peu de parmesan. Une fois cuit, ajouter la crème courgette/épinard chaude au risotto. Ajouter un peu de bouillon pour avoir un risotto assez liquide. Servir et déguster immédiatement.
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Photos du jour : Lancia Abarth 037 (Rétromobile)
C'est donc l'une des 207 Lancia 037 de route qui prend place dans nos colonnes aujourd'hui."
Ferrari : Retour vers le plaisir (vidéos)
Moment de plaisir avec ce petit retour vers la période 1987-1997 avec deux superbes supercars qui sont aujourd’hui des merveilles pour collectionneurs fortunés, je veux parler de deux italiennes de Maranello , les F40 et F50.
D’un coté une merveille ( avec la 288 GTO ) avec la F40 de 1987 produite à seulement 1315 exemplaires ( 400 exemplaires avaient été initialement prévus ) . Elle est propulsée par un V8 2.9 L Biturbo qui développe 478 ch, 569 Nm et qui permet à cette quasi grand mère d’aller flirter avec les 325 km/h et d’abattre le 0 à 100 en 3.8 secondes avec une sonorité qui ferait se relever la nuit tant c’est bon ! De l’autre coté, nous sommes en 1995, la Ferrari F50 est lancée comme la successeure de la F40. 349 unités sortiront des ateliers de Maranello mais quelle merveille avec son V12 4.7 L atmo qui délivre 520 ch et 471 Nm de couple pour une Vmax de 320 km/h et seulement 3.9 secondes pour atteindre les 100 km/h. Des performances similaires voire à peine inférieures à celle de la F40 née 8 ans plus tôt à cause du poids. La F50 pèse 289 kg de plus que la F40 ( 1389 kg vs 1100 kg ). Que du bonheur pour les yeux, les oreilles, la mécanique et surtout la conduite pour ceux qui ont déjà eu la chance de faire un tour à bord de l’une ou de l’autre. Aussi pour le plaisir, voici ces deux très belles italiennes dans une vidéo où elles roulent de concert… de V8 et de V12 !
Et pour complèter ce duo, revoici la sublime et très rare 288 GTO de 1984 avec son V8 2.9 L Biturbo de 400 ch, 496 Nm, ses seulement 1196 kg, son allure issue de la lignée des 308 et dessinée par un Pininfarina inspiré et au bout du compte seulement 271 exemplaires ( sans compter les versions Evoluzione destinées au circuit ) de cette auto qui il y a 27 ans atteignait 305 km/h et abattait le 0 à 100 en moins de 4.9 secondes ! Que du bonheur pour du grand Ferrari puisque les 288 GTO et F40 sont nées sous la direction du Commandatore.
Via Youtube, NFSC, Erdero
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En balade dans les allées de Rétromobile avec Ugo
Quoi de mieux que de commencer une promenade dans les allées du salon Rétromobile 2011 par la Peugette qui fut un joli projet développé par Peugeot et Pininfarina qui fut présenté au salon de Turin 1976. 3.38 m de long, un petit moteur un coût réduit et un petit moteur mais le plaisir de conduite mis en avant tout comme le look sympa qui rappelle un peu celui de la Porsche 914. Hélas le conservatisme et la frilosité de Peugeot à l’époque firent que ce projet n’eut aucune suite ! Dommage.
Je vous propose en ce dimanche hivernal de revenir en photographies mais sans parti pris sur quelques une des voitures qui étaient présentées à la Portes de Versailles la semaine passée. Pour vous faciliter un peu la vie, j’ai regroupé les autos en trois catégories ( Compétition, Etrangères, Françaises ). La selection est très écclectique et nous la devons à Ugo notre photographe !
Place aux étrangères avec pour commencer, la marque va faire parler d’elle dans les semaines et mois à venir, une Lancia Beta Montecarlo née en 1975 sous la plume de Pininfarina ( destinée au départ à devenir une Fiat en remplacement de la 124 Coupé et finalement Fiat choisira la X1/9 ), motorisée par un 2.0 L DOHC de 120 ch en position transversal arrière. Elle est la mère de la 037 de rallye. Ici une version Mk1 reconnaissable à sa calandre, ses montants arrières pleins, ses sièges « design » en skaï, sa teinte « champagne métallisé » mais hélas sans ses jantes alu d’origine ( ici des jantes alu Campagnolo destinée au coupé GTV ).
Un rare coupé BMW 2000 CS ( code modèle 120 de 65 à 70) de la seconde moitié des années 60 et son puissant 2.0 L de 122 chevaux !
Et une Skoda Superb Mk1….
Place aux françaises avec la superbe Bugatti 57S Atlantic chassis n° 57473 à la vie tumultueuse faite d’une première livraison en 1936 et en noir, d’un restylage par Figoni & Falaschi, des conquêtes féminines de son deuxième propriétaire René Chatard, d’accident avec un train, de 10 ou 12 années de mise sous séquestre par la SNCF, d’une première remise en état par Berson mais avec des pièces neuves, d’une seconde renaissance qui se fit grâce aux prestigieux Ateliers de restauration Lecoq et le rachat par un collectionneur qui fit refaire la 57S chez Russel ( le restaurateur de référence des Bugatti ) .
Place à quelques sportive du groupe PSA ( et une Renault ! ) en commençant par l’inoubliable Visa Mille Pistes, ancêtre de la DS3 WRC de Loeb ( qui n’a pas fait de miracle ce week end en Suède ! )
Le soir tombe, il est venu le temps de regagner nos autos plus modernes, plus technologiques mais je ne suis pas sur qu’elles nous laissent les mêmes souvenirs ou les mêmes sensations que ne le font ces anciennes bien moins aseptisées ou sur assistées !
Crédits photos : Ugo Missana.
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