Qui êtes-vous ?
04 août 2019
PNL - Deux Frères [Clip Officiel]
On a grandi comme les princes de la ville
Fous comme Prince de Bel-Air
Flow Corvette, Ford Mustang, dans la légende
La police tue à six étoiles, à toujours se dire belek
Trop gentil comme Cody, sentiments dans la salle du temps
Il était une fois deux frères, deux fauves, deux trous dans le cerveau
Poto, deux paires
Conditionnés au fond d'un hall sur une chaise
Emprisonnés, des rêves qui brisent plus d'une chaîne
Esprit de gosse caché derrière le V
Pris d'ambition en stagnant devant L.V
Salaire de bacqueux chaque soir dans les Nike
Bénéf' de la beuh qui part dans le mic'
On a grandi comme les princes de la ville
Les rois du hall, dans le ciel, pas plus d'une étoile
En face du trône
Des grammes, des kil' de peine, même dans le ben'
Deux frères, deux fauves, le M
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Bats les couilles de ces fils de pute
J'suis pas là pour être aimé, faudra t'y faire à l'idée
Rien à foutre que ces catins déboîtent sur rap de merde
Ou de qui t'aura validé
Même plus besoin de vis-ser de la qualité d'après vé-Her
De la force au calme, au Kaïô-Ken
Allez c'est l'heure
J'ai grandi dans le zoo
Je suivais les cris dans la jungle, les pas de grand frère
Papa nous a cogné tête contre tête
Nous a dit "j'veux un amour en fer"
J'veux personne entre vous, même pas moi
Même pas les anges de l'Enfer (les anges de l'Enfer)
J'ai aimé mon frère plus que ma vie comme me l'a appris mon père
Chaque rêve, chaque cauchemar
Chaque ennemi, chaque euros, partagés
Et à part le nombre de cicatrices, rien ne va changer
Dans le même, dans le même miroir, on s'est regardés
Dans les mêmes, dans les mêmes trous noirs, on s'est égarés
Quand on était petits, on avait les mêmes sapes
Plus grands, les mêmes armes
Même niaks, même terrain, Igo, les mêmes schlags
Jamais les mêmes femmes, moi, c'était les belles blondes
Lui les vénézuéliennes, moi dehors, lui qui tombe
Rien ne nous séparera, même pas nos bitchs
Tout ce que je prends, j'te le donne, un peu comme ma vie
Y'a que toi qui sais ce que je vis
Que moi qui sais ce que tu vis
On s'est dit, c'est l'heure de les baiser
Si on fusionnait, chi
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Bats les couilles de ces fils de pute
J'suis pas là pour être aimé, faudra t'y faire à l'idée
Rien à foutre que ces catins déboîtent sur rap de merde
Ou de qui t'aura validé
Même plus besoin de vis-ser de la qualité d'après vé-Her
De la force au calme, au Kaïô-Ken
Allez c'est l'heure
Fous comme Prince de Bel-Air
Flow Corvette, Ford Mustang, dans la légende
La police tue à six étoiles, à toujours se dire belek
Trop gentil comme Cody, sentiments dans la salle du temps
Il était une fois deux frères, deux fauves, deux trous dans le cerveau
Poto, deux paires
Conditionnés au fond d'un hall sur une chaise
Emprisonnés, des rêves qui brisent plus d'une chaîne
Esprit de gosse caché derrière le V
Pris d'ambition en stagnant devant L.V
Salaire de bacqueux chaque soir dans les Nike
Bénéf' de la beuh qui part dans le mic'
On a grandi comme les princes de la ville
Les rois du hall, dans le ciel, pas plus d'une étoile
En face du trône
Des grammes, des kil' de peine, même dans le ben'
Deux frères, deux fauves, le M
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Bats les couilles de ces fils de pute
J'suis pas là pour être aimé, faudra t'y faire à l'idée
Rien à foutre que ces catins déboîtent sur rap de merde
Ou de qui t'aura validé
Même plus besoin de vis-ser de la qualité d'après vé-Her
De la force au calme, au Kaïô-Ken
Allez c'est l'heure
J'ai grandi dans le zoo
Je suivais les cris dans la jungle, les pas de grand frère
Papa nous a cogné tête contre tête
Nous a dit "j'veux un amour en fer"
J'veux personne entre vous, même pas moi
Même pas les anges de l'Enfer (les anges de l'Enfer)
J'ai aimé mon frère plus que ma vie comme me l'a appris mon père
Chaque rêve, chaque cauchemar
Chaque ennemi, chaque euros, partagés
Et à part le nombre de cicatrices, rien ne va changer
Dans le même, dans le même miroir, on s'est regardés
Dans les mêmes, dans les mêmes trous noirs, on s'est égarés
Quand on était petits, on avait les mêmes sapes
Plus grands, les mêmes armes
Même niaks, même terrain, Igo, les mêmes schlags
Jamais les mêmes femmes, moi, c'était les belles blondes
Lui les vénézuéliennes, moi dehors, lui qui tombe
Rien ne nous séparera, même pas nos bitchs
Tout ce que je prends, j'te le donne, un peu comme ma vie
Y'a que toi qui sais ce que je vis
Que moi qui sais ce que tu vis
On s'est dit, c'est l'heure de les baiser
Si on fusionnait, chi
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Deux frères, deux frères (M, M, M)
Bats les couilles de ces fils de pute
J'suis pas là pour être aimé, faudra t'y faire à l'idée
Rien à foutre que ces catins déboîtent sur rap de merde
Ou de qui t'aura validé
Même plus besoin de vis-ser de la qualité d'après vé-Her
De la force au calme, au Kaïô-Ken
Allez c'est l'heure
PNL - Blanka [Clip Officiel]
[Couplet 1 : N.O.S]
Igo m'demandent tous de l’aide
Mais moi, j'suis rien sans cet oseille
Je roule que la peuf me balaie
Tordu, tordu par Corbeil
J'ai peur un peu pour moi, beaucoup pour toi
J’essaie de m'adoucir mais l'humain m'rend noir
Il reste quelques gens biens, je garde espoir
J'serais pas l'même sans les miens ou sans le noir
J'fais l'tour d’la pièce, la nuit, j’fais le tour d'la ville
Une gourde, j’fais l'shlag quand cette putain d'vie m'ennuie
Et si cette vie n’est pas bonne, j'la baiserais pas
J'veux pas être comme le roi, j'vaux mieux que ça
Nerveux comme équipe sans liquide
Recherche du bonheur, j'm'enfonce dans le vide
Le temps passe sur ton visage, le chrono' m'fait mal au bide
J'vois l'monde un peu à l'envers
J'attire les putes blanches aux sentiments noirs
[Refrain : Ademo]
J'ai les douilles, j'fais pas la catine (lé-lé-lé)
Bats les couilles si tu parles trop hmm, c'est la rue qui t'abîme
Tu connais, faudra pas déconner, c'est AD qui taquine
Coco joue pas l'kéké, humble comme Kaká
Un peu survolté, un dos louche comme Blanka
Sous jamaïca, sors un flow comme Sanka
[Couplet 2 : Ademo]
J'mets ma casquette, elle m'rappellera toujours c'temps où j'tenais les murs
J'adoucis l'flow, l'regard si dur
J'me suis détruit, en construisant l'avenir des miens
J'me remets en question avec des larmes dans mon vin
J'disais : "Mon ombre, tu sais, tu devrais fuir"
À croire qu'elle savait c'que j'deviendrai à l'av'nir
J'ai que des tics (sniff), à l'odeur d'l'argent (j'comptais)
J'me cache, j'compte, j'cache le cash dans la chambre
Comme avant, comme demain ou comme avant-hier
Rien ne change à part que j'suis encore plus fier(putain d'sa mère)
J'suis toujours gang, à la trentaine, j'dis toujours bang
Elle s'rappelle de mon coup d'rein sur du triple chain gang (gang, gang, gang)
J'fume et puis j'tractionne en pronation (en pronation), j'sors ma bite dans les prolongations (prolongations)
J'suis serein dans ce corps en location
J'suis à cent pour cent d'mes dix pour cent, Epoque œil pour œil et bouche sur gland
Et j'passe au vert en billets d'cent, l'cœur pas si blanc et j'prie pourtant
J'souris, j'ai l'parfum du doré
Y'a très peu d'anges pour m'épauler
[Refrain : Ademo]
Igo m'demandent tous de l’aide
Mais moi, j'suis rien sans cet oseille
Je roule que la peuf me balaie
Tordu, tordu par Corbeil
J'ai peur un peu pour moi, beaucoup pour toi
J’essaie de m'adoucir mais l'humain m'rend noir
Il reste quelques gens biens, je garde espoir
J'serais pas l'même sans les miens ou sans le noir
J'fais l'tour d’la pièce, la nuit, j’fais le tour d'la ville
Une gourde, j’fais l'shlag quand cette putain d'vie m'ennuie
Et si cette vie n’est pas bonne, j'la baiserais pas
J'veux pas être comme le roi, j'vaux mieux que ça
Nerveux comme équipe sans liquide
Recherche du bonheur, j'm'enfonce dans le vide
Le temps passe sur ton visage, le chrono' m'fait mal au bide
J'vois l'monde un peu à l'envers
J'attire les putes blanches aux sentiments noirs
[Refrain : Ademo]
J'ai les douilles, j'fais pas la catine (lé-lé-lé)
Bats les couilles si tu parles trop hmm, c'est la rue qui t'abîme
Tu connais, faudra pas déconner, c'est AD qui taquine
Coco joue pas l'kéké, humble comme Kaká
Un peu survolté, un dos louche comme Blanka
Sous jamaïca, sors un flow comme Sanka
[Couplet 2 : Ademo]
J'mets ma casquette, elle m'rappellera toujours c'temps où j'tenais les murs
J'adoucis l'flow, l'regard si dur
J'me suis détruit, en construisant l'avenir des miens
J'me remets en question avec des larmes dans mon vin
J'disais : "Mon ombre, tu sais, tu devrais fuir"
À croire qu'elle savait c'que j'deviendrai à l'av'nir
J'ai que des tics (sniff), à l'odeur d'l'argent (j'comptais)
J'me cache, j'compte, j'cache le cash dans la chambre
Comme avant, comme demain ou comme avant-hier
Rien ne change à part que j'suis encore plus fier(putain d'sa mère)
J'suis toujours gang, à la trentaine, j'dis toujours bang
Elle s'rappelle de mon coup d'rein sur du triple chain gang (gang, gang, gang)
J'fume et puis j'tractionne en pronation (en pronation), j'sors ma bite dans les prolongations (prolongations)
J'suis serein dans ce corps en location
J'suis à cent pour cent d'mes dix pour cent, Epoque œil pour œil et bouche sur gland
Et j'passe au vert en billets d'cent, l'cœur pas si blanc et j'prie pourtant
J'souris, j'ai l'parfum du doré
Y'a très peu d'anges pour m'épauler
[Refrain : Ademo]
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