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09 juin 2011
Crumble de tomates cerises
Je ne suis pas une fan inconditionnelle du crumble et parfois même, je trouve que les déclinaisons à n'en plus finir lui enlève de son charme. Cela dit, j'avais tout de même bien envie, une fois n'est pas coutume, d'en faire une version salée servie en entrée ou en bouchées apéritives. J'avais sous la mains quelques grappes de tomates cerises, il n'en fallait pas plus pour faire l'essai. Et bien le résultat est tout à fait délicieux… les tomates passées au four développent tous leurs arômes et le croustillant sablé les accompagne parfaitement.
Ingrédients : une quarantaine de tomates cerises (environ 10 par part) - quelques branches de thym - quelques feuilles de basilic - 1 petite gousse d'ail - huile d'olive - sel - mélange 5 baies au moulin / Pour la pâte à crumble : 80 g de farine - 50 g de Comté râpé finement - 4 CS d'huile d'olive - sel - poivre
Préchauffez votre four à 200°.
Dans un récipient, mélangez les tomates cerises coupées en deux, le thym, le basilic, un filet d'huile dolive et l'ail écrasé puis salez et assaisonnez.
Mélangez la farine et le Comté avec l'huile d'olive et travaillez la pâte du bout des doigts jusqu'à ce qu'elle ait un aspect sablée. Salez et poivrez puis mélangez à nouveau délicatement.
Répartissez les tomates dans quatre ramequins allant au four. Recouvrez de pâte à crumble puis enfournez pendant environ 15 minutes, la pâte à crumble doit avoir bien doré.
Vous pouvez aussi présenter le crumble dans de minis ramequins pour l'apéritif…
Une remarque : je n'avais pas enlevé la peau des tomates ni les grains, la prochaine j'essaierai de le faire, la peau de tomate n'est pas toujours agréable en bouche… bon il faut juste un peu plus de temps. L'astuce, jetez les tomates quelques secondes dans l'eau bouillante pour les peler plus facilement.
Mon petit jardin de fenêtre…
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Cerises façon pain d'épice
Le "temps des cerises" a pris de l'avance… les branches des cerisiers plongent sous le poids de ces belles billes rouges bien en chair, la récolte va être plus que bonne… Clafoutis, tartes, confitures sont au rendez-vous mais sous peine de se lasser, il faut bien renouveller le genre et faire preuve de fantaisie pour donner une petite touche d'inattendu à nos classiques desserts… J'avais dans mon placard un petit pot d'épices à pain d'épices jamais utilisé, j'ai donc testé le clafoutis goût pain d'épice aux cerises. En dosant légèrement les épices, la pâte se révelle parfumée et s'associe très bien à la cerise.
Ingrédients pour 6 à 8 personnes
400 g de cerises - 120 g de sucre - 150 g de farine - 4 oeufs - 25 cl de lait - 30 g de beurre fondu - 2 CC raz d'épices à pain d'épices.
Préchauffez le four à 180°. Lavez et équeutez les cerises et si vous le voulez enlevez le noyau. Beurrez un plat allant au four ou des petits ramequins. Mélangez le sucre et les œufs avec un fouet. Ajoutez la farine peu à peu, les épices puis incorporez le lait et le beurre fondu. Le mélange doit être bien homogène.
Disposez les cerises dans le plat ou les ramequins puis versez le mélange dessus et mettez au four. Laissez cuire 30 à 40 minutes.
Servez encore tiède.
Balade en Suisse…
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José Rosinski a pris la voie des stands et s’en est allé !
Pour ceux d’entre vous qui sont de fidèles lecteurs de Sport Auto, ce début de mois de juin est marqué d’une bien triste nouvelle puisque le 3 juin dernier José Rosinski est décédé à l’age de 75 ans.
Fabuleuse plume, excellent essayeur et grand commentateur des années dorées de la F1, l’homme a commencé comme nous le sommes tous par être un vrai passionné d’automobile et un pilote de course puisqu’en 1961 il finit second du championnat de France de Formule Junior sur une Cooper puis il remporta le championnat de France des circuit en 1963 sur une Alpine M63 et durant les années 60, il court très régulièrement au 24H du Mans, d’ailleurs en 1967 il terminera 9eme sur une Alpine.
Il était le coeur, l’âme de Sport Auto, celui pour qui on achetait la revue chaque mois même si il n’y avait pas de super essai mais depuis 1962 ( il est le co-fondateur avec G.Crombac de Sport Auto ), il avait eu le temps d’engranger les kilomètres, les références et les sensations et quand il nous parlait de voiture avec ses amis Gérard Crombac, Johnny Rives ou Yves Bey Rozet, on était sur que c’était un avis juste et argumenté que l’on pouvait lire au sujet d’une Porsche, d’une R5 Turbo ou d’une Ferrari.
Rien que des grands moments de lecture automobile pour ceux qui apprécient les articles un peu plus fouillés que ceux de nos amis d’AutoPlus ! Le grand journaliste-essayeur nous a quitté en ce mois de juin à la veille du Mans, surement pour aller rejoindre d’autres belles plumes de l’écriture automobile et sportive que sont Gérard Crombac et Paul Frère, je suis même sur qu’il est aussi parti refaire les courses et le monde du sport avec un certain Antoine Blondin qui nous a quitté il y a tout juste 20 ans…
Et la F1 commentée par José Rosinski et Christian van Ryswyck, c’était quelque chose et un grand moment qui se vivait pleinement, bien loin des interviews de la jolie M.Jollès et des commentaires sans grand intérêt que l’on peut entendre aujourd’hui. Son allure élégante et sa fine plume vont manquer au monde de l’automobile puisque sur ce run la maladie a été plus rapide que l’écrivain-pilote passionné. Hélas…
Pour le plaisir, l’essai de la Fiat Dino par José Rosinski.
Il va me manquer dans mes lectures automobiles et nous nous associons pour rendre hommage à ce passionné d’écriture et de voitures et pour présenter nos condoléances à sa famille.
Via JéromeBedière, Autro.italiano, PierreMenard.
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Benarrow PB5 : Elle roule vraiment ! (vidéos)
Je vous avais présenté il y a presqu’une année ce grand coupé allemand développé sur la base d’un coupé Audi S5 à moteur V8 boosté par un compresseur et qui avance officiellement une puissance de 510 ch et 520 Nm ( MTM est à la manoeuvre ) mais nous nous posions la question de savoir si ce coupé artisanal et cher aurait une existence réelle sur le marché.
La réponse est oui puisque je vous propose de découvrir ci après une vidéo qui nous montre l’auto dans les rues de Monaco. Si l’on en croit les propos du constructeur allemand, actuellement trois exemplaires de ce coupé à 215.000€ HT ont été vendus plus celui de démonstration filmé en terre monégasque ! Pour mémoire, ce Coupé PB5 ne reprend de la S5 ( hors mécanique et transmission )que les deux portières et le toit. Pour découvrir l’auto en vidéo c’est par là.
Ci dessous la vidéo de promo.
Et pour le fun à l’essai sur GripChannel avec le coupé Infiniti G37 et la Cadillac CTS-V.
Pour ceux qui veulent retrouver le détail de ce grand coupé allemand de luxe capable d’atteindre les 280 km/h et d’abattre le 0 à 100 km/h en à peine 4.2 secondes, c’est par là.
http://blogautomobile.fr/?p=74014
Via Shmee150, GripChannel,Youtube.
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Mini Coupé : Officiellement dévoilé mais encore camouflé (vidéo + tarifs)
Mini a dévoilé il y a deux jours les premiers clichés officiels du coupé Mini qui sera mis en vente à la rentrée. Pas de surprise à attendre puisque la version de série est conforme au concept car à l’aileron arrière mobile près !
Pour le reste rien de plus à préciser par rapport à ce que nous connaissons déjà depuis de très longs mois si ce n’est qu’on peut être surpris par la présentation de ce coupé qui se fait 60% découvert et 40% camouflé…
Allure basse ( -29 mm pour la garde au sol ) et tricorps avec un hayon, aileron mobile qui sort dès 80 km/h et se referme en dessous de 60km/h, pare brise raccourci et incliné, deux places et au final une apparence dynamique assez réussie qui devrait séduire les clients amateurs de petits coupés.
Ce coupé mesure est très compact puisqu’il est plus petit de 11 cm que son concurrent le roadster Wind, ainsi cette Mini a les dimensions suivantes :
L : 3.72 m
l : 1.68 m
h : 1.37 m
Empattement : 2.46 m
Au chapitre mécaniques, on retrouve le 1.6 L dans ses différentes variantes et le récent 2.0 L diesel. Tous les moteurs profites du Start& Go, de la récupération d’énergie au freinage et du fameux indicateurs de changement de vitesse. Toutes les versions sont équipées de la BVM6 ou en option de la BVA Steptronic6 avec palettes au volant ( sauf pour la version JCW qui n’existe qu’en BVM6 ). On découvre ainsi :
Coupé Cooper : L4, 1.6 L, 122 ch, 160 Nm, Vmax : 204 km/h, 0 à 100 km/h en 9.0 sec, consommation mixte : 5.4 L/100 km et 127 g de CO2/km.
Coupé Cooper S : L4, 1.6 L Turbo, 184 ch, 240 Nm ( 260 Nm avec Overboost ), Vmax : 230 km/h, 0 à 100 km/h en 6.9 sec, consommation mixte : 5.8 L/100 km et 136 g de CO2/km.
Coupé JCW : L4, 1.6 L Turbo, 211 ch, 260 Nm ( 280 Nm avec Overboost ), Vmax : 240 km/h, 0 à 100 km/h en 6.4 sec, consommation mixte : 7.1 L/100 km et 165 g de CO2/km.
Coupé 2.0 L SD : L4, 2.0 L Diesel, 143 ch, 305 Nm, Vmax : 216 km/h, o à 100 km/h en 7.9 sec, consommation mixte : 4.3 L/100 km et 114 g de CO2/km.
Chez Mini, on promet une voiture peaufinée et sportive notamment en terme de mise au point du chassis et de réactivité en conduite dynamique. A voir notamment sur la version JCW qui disposera d’un chassis surbaissé, d’un amortissement spécifique et d’un freinage renforcé. A voir dans quelques temps tout comme l’habitacle qui n’a pas en révèlé ses secrets. En attendant je vous propose de retrouver ce coupé Mini en essai sur la Nordschleife et en vidéo.
Pour compléter ce teaser de lancement (une nouveauté BMW ? ), je vous propose de découvrir la tarification « moyenne » des coupé Mini en Europe.
Coupé Cooper : 23.400€
Coupé Cooper S : 27.750€
Coupé JCW : 33.150€
Coupé SD : 28.750€
Une tarification Mini pour un coupé qui est quasiment seul sur le segment des petits coupés sportifs. Une auto que nous allons découvrir plus en détails cet été et surtout au salon de Francfort dans sa version commercialisable qui arrivera en concession durant le dernier trimestre 2011.
Via Mini, TeamSpeed, Youtube.
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Aston Martin Rapide : Elle revient en Grande Bretagne
Ainsi en a décidé la direction d’Aston Martin, la berline Rapide quittera dans les prochains mois le site de production de Magna Steyr à Graz en Autriche pour celui d’Aston Martin à Gaydon en Grande Bretagne.
Le constructeur anglais pense aujourd’hui pouvoir construire tout seul la belle berline de luxe et délaissera donc le partenariat avec Magna dans les prochains mois pour rapatrier l’outil de production dans l’ usine Aston Martin de Gaydon. Aston Martin avait initialement fait le choix de Magna pour la grande qualité de son travail et on doit estimer à la tête du fabricant de Newport Pagnell que l’on sait désormais faire aussi bien en Angleterre ( ce qui objectivement ne s’est pas toujours confirmé ! ). Produite depuis 18 mois en Autriche, la Rapide sera donc 100% britannique dans une année environ.
Voilà donc pour la version officielle mais les bruits de couloirs et les mots couverts disent autre chose. On parle de difficultés financières assez importantes chez Aston Martin ( c’est chronique ) du fait de la nette baisse des ventes des voitures qui commencent à vieillir et d’un style trop uniforme par rapport à une concurrence qui ne s’endort pas. Ainsi Aston Martin rapatrierait la production afin d’occuper ses chaines de production et d’éviter un plan social dans les prochains mois.
Toujours au chapitre de la Rapide, elle devrait être très bientôt restylée ( dans le style de la « nouvelle » Virage et verrait son V12 6.0 L passer de 490 ch à 517-520 ch? A voir peut être à Francfort ou à Los Angelès. Rapide et l’avenir d’Aston sont deux sujets qui pourraient bien nous occuper un peu dans les prochains mois.
Via AstonMartin, M.A, Autoblog.
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