Allons faire un petit tour au célèbre marché de Papeete (qui a été modifié en 1985 sur 2 étages au lieu d'un) en compagnie d'Annie. Régalons-nous des fruits et légumes qui sont offerts à nos pupilles et à nos narines.
Qui êtes-vous ?
25 février 2008
Envie de Firi Firi ?
Grâce à Annie, nous allons pouvoir petit déjeuner Dimanche prochain avec des firi firi !
Qu'est-ce que des Firi Firi vous demandez-vous ?
Ce sont de délicieux beignets Polynésiens que chaque Mamma Polynésienne prépare pour le petit-déjeuner du Dimanche matin
En voici la recette de base, pour 20 Firi Firi :
36cl d'eau 150g de sucre 1kg de farine 1cuillerée à café de levure de boulanger 50cl de lait de coco 1 pincée de sel
Faire une pâte ferme à levain avec 250g de farine, la cuillérée à café de levure et 16cl d'eau.
Laisser reposer 1h.
Mélanger le levain avec le reste de la farine, le lait de coco, 20cl d'eau, le sucre et le sel.
Pétrir et laisser reposer 2h.
Faire des petites parts avec la pâte, les rouler soit en boudins de 1cm de diamètre, soit former des cercles soit en forme de 8.
Laisser reposer 1/2 heure.
Cuire les firi firi dans une friture bien chaude, puis égoutter, sucrer et servir aussitôt.
Les firi firi doivent être bien dorer
Euh... ne mangez pas tout le saladier entier en une seule fois ;-o)
Qu'est-ce que des Firi Firi vous demandez-vous ?
Ce sont de délicieux beignets Polynésiens que chaque Mamma Polynésienne prépare pour le petit-déjeuner du Dimanche matin
En voici la recette de base, pour 20 Firi Firi :
36cl d'eau 150g de sucre 1kg de farine 1cuillerée à café de levure de boulanger 50cl de lait de coco 1 pincée de sel
Faire une pâte ferme à levain avec 250g de farine, la cuillérée à café de levure et 16cl d'eau.
Laisser reposer 1h.
Mélanger le levain avec le reste de la farine, le lait de coco, 20cl d'eau, le sucre et le sel.
Pétrir et laisser reposer 2h.
Faire des petites parts avec la pâte, les rouler soit en boudins de 1cm de diamètre, soit former des cercles soit en forme de 8.
Laisser reposer 1/2 heure.
Cuire les firi firi dans une friture bien chaude, puis égoutter, sucrer et servir aussitôt.
Les firi firi doivent être bien dorer
Euh... ne mangez pas tout le saladier entier en une seule fois ;-o)
24 février 2008
Heiva I Tahiti
Ia orana, Bonjour,
Heiva I Tahiti est une troupe de danseuses et danseurs polynésiens que je connais depuis début 2004 et dont je suis devenu un peu le photographe, bien que je ne la voit que rarement en ce moment (dernière fois en octobre 2007).
Christian et Germaine, manager et chorégraphe, sont devenus des amis que j'apprécie beaucoup.
Les danseuses et danseurs viennent de Polynésie pour 12 ou 24 mois, voire plus si l'amour s'en même ;-o).
Et bien sûr, une troupe n'est rien sans l'équipe technique formée par Loïc et Christian.
La troupe se produit aussi bien en France qu'à l'international. A Paris, elle a eu l'honneur du Casino de Paris en 2006 :
Cette année, elle s'est produite, entre autres, à :
Menton (06) à la 75ème Fête du Citron (16 Février au 5 Mars 2008) où la Polynésie était invitée à défiler avec d'autres îles, ainsi qu'au spectacle Les îles en scènes du 16 Février :
Paris (75) à l'espace Reuilly le 20 Janvier (après une passage en décembre 2007) pour le spectacle Fééries Tahitiennes :
HEIVA TAHITI POLYNESIA - Fééries Tahitiennes final ! par petitemissjess
Voici des vidéos d'autres spectacles de la troupe :
2007 à Brive-la-Gaillarde (19) dans le cadre de Brive-Plage
http://fr.youtube.com/watch?v=s-AYPi4q_CI
2005 à Castres (81) dans le cadre du festival Couleurs du Monde :
Danses du Pacifique I par tokave81
DANSES du PACIFIQUE II par tokave81
Heiva I Tahiti est une troupe de danseuses et danseurs polynésiens que je connais depuis début 2004 et dont je suis devenu un peu le photographe, bien que je ne la voit que rarement en ce moment (dernière fois en octobre 2007).
Christian et Germaine, manager et chorégraphe, sont devenus des amis que j'apprécie beaucoup.
Les danseuses et danseurs viennent de Polynésie pour 12 ou 24 mois, voire plus si l'amour s'en même ;-o).
Et bien sûr, une troupe n'est rien sans l'équipe technique formée par Loïc et Christian.
La troupe se produit aussi bien en France qu'à l'international. A Paris, elle a eu l'honneur du Casino de Paris en 2006 :
Cette année, elle s'est produite, entre autres, à :
Menton (06) à la 75ème Fête du Citron (16 Février au 5 Mars 2008) où la Polynésie était invitée à défiler avec d'autres îles, ainsi qu'au spectacle Les îles en scènes du 16 Février :
Paris (75) à l'espace Reuilly le 20 Janvier (après une passage en décembre 2007) pour le spectacle Fééries Tahitiennes :
HEIVA TAHITI POLYNESIA - Fééries Tahitiennes final ! par petitemissjess
Voici des vidéos d'autres spectacles de la troupe :
2007 à Brive-la-Gaillarde (19) dans le cadre de Brive-Plage
http://fr.youtube.com/watch?v=s-AYPi4q_CI
2005 à Castres (81) dans le cadre du festival Couleurs du Monde :
Danses du Pacifique I par tokave81
DANSES du PACIFIQUE II par tokave81
22 février 2008
Les roulottes à Papeete (Tahiti)
Ia orana,
A Papeete, nul besoin que vous entriez dans un restaurant le soir, il vous suffit de vous rendre place Vaiete au front de mer de Papeete et de choisir la roulotte (petite camionette) qui vous servira des pizzas, steak-frites, chao men, poisson cru, cheeseburger ou même des crêpes bretonnes à petits prix... mais aucune boisson alcoolisée.
Mauruuru Annie pour les 2 photos ci-dessous :
L'embarras du choix :
La roulotte "Ah Léon" :
Ah, ces roulottes ! De très bons souvenirs d'Octobre 1975 à fin Juin 1976 : on mangeait pour pas cher.
Mastodontes des Mers à Tahiti
Ia orana, Bonjour,
Tahiti est une destination qui fait rêver, mais que penser de ces 2 grands vaisseaux des mers dans le port de Papeete ?
Le Tahitian Princess, arrivé le lundi 18 de ce mois :
Le Queen Elizabeth 2, arrivé la semaine dernière et qui repart pour continuer son dernier tour du monde puisque racheté en juin 2007 par l'émirat de Dubaï pour 100 millions de dollars. Il compte en faire un hôtel flottant pour l'île artificielle de Jumeirah du projet touristique Palm Islands. Le célèbre paquebot cessera de sillonner les océans en novembre 2008. Le tout nouveau Queen Victoria, lancé le 10 décembre 2007 (une anecdote) :
Un grand mauruuru (merci) à Annie pour ses belles photos qu'elle nous envoie.
Tahiti est une destination qui fait rêver, mais que penser de ces 2 grands vaisseaux des mers dans le port de Papeete ?
Le Tahitian Princess, arrivé le lundi 18 de ce mois :
Le Queen Elizabeth 2, arrivé la semaine dernière et qui repart pour continuer son dernier tour du monde puisque racheté en juin 2007 par l'émirat de Dubaï pour 100 millions de dollars. Il compte en faire un hôtel flottant pour l'île artificielle de Jumeirah du projet touristique Palm Islands. Le célèbre paquebot cessera de sillonner les océans en novembre 2008. Le tout nouveau Queen Victoria, lancé le 10 décembre 2007 (une anecdote) :
Un grand mauruuru (merci) à Annie pour ses belles photos qu'elle nous envoie.
14 février 2008
14 Février : la Saint-Valentin - Bonne fête à toutes les Valentines et à tous les Valentins du Monde
"Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, est considéré dans de nombreux pays comme la fête des amoureux. Les couples en profitent pour échanger des mots doux et des cadeaux comme preuves d'amour ainsi que des roses rouges qui sont l'emblème de la passion.
À l'origine fête de l'Église catholique, le jour de la Saint-Valentin n'aurait pas été associé avec l'amour romantique avant le haut Moyen Âge. La fête est maintenant associée plus étroitement à l'échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu'un cœur ou un Cupidon ailé.
À l'envoi de billets au XIXe siècle a succédé l'échange de cartes de vœux.
Les fêtes de la fertilité du mois de février :
L'association du milieu du mois de février avec l'amour et la fertilité date de l'antiquité. Dans le calendrier de l'Athènes antique, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage sacré de Zeus et de Héra.
Dans la Rome antique, le jour du 15 février était nommé les lupercales ou festival de Lupercus, le dieu de la fertilité, que l'on représente vêtu de peaux de chèvre. Les prêtres de Lupercus sacrifiaient des chèvres au dieu et, après avoir bu du vin, ils couraient dans les rues de Rome a moitié nu et touchaient les passants en tenant des morceaux de peau de chèvre à la main. Les jeunes femmes s'approchaient volontiers, car être touchée ainsi était censé rendre fertile et faciliter l'accouchement. Cette solennité païenne honorait Junon, déesse romaine des femmes et du mariage, ainsi que Pan, le dieu de la nature.
Au moins trois saints différents sont nommés Valentin, tous trois martyrs. Leur fête a été fixée le 14 février par décret du pape Gelase Ier, aux alentours de 498. C'est à cette date qu'ils sont mentionnés dans les premiers martyrologes :
Valentin de Rome, un prêtre qui a souffert le martyr à Rome dans la seconde moitié du IIIe siècle et qui a été enterré sur la Via Flaminia.
Valentin de Terni, un évêque d'Interamma (le Terni moderne), qui a également souffert le martyre dans la deuxième moitié du IIIe siècle et qui a également été enterré sur la Via Flaminia.
Un martyr en Afrique du Nord dont on ne sait presque rien.
Le rapprochement entre la Saint-Valentin et l'amour courtois n'est mentionné dans aucune histoire ancienne et est considéré par des historiens comme une légende. Il existe une légende selon laquelle la fête de la Saint-Valentin a été créée pour contrecarrer la pratique des lupercales par les jeunes amoureux qui dessinaient leurs noms sur une urne. Mais cette pratique n'est citée dans aucune source écrite de l'époque.
Le jour de la Saint-Valentin a longtemps été célébré comme étant la fête des célibataires et non des couples. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leurs villages et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent (définition des lupercales). À l'issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l'année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l'expansion des villages.Cette pratique laissait libre cours à beaucoup de tricheries de la part de couples officieux ainsi que des hommes qui visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.
L'époque médiévale :
La première mention du jour de la Saint-Valentin avec une connotation amoureuse remonte au XIVe siècle en Angleterre et en France, où l'on croyait que le 14 février était le jour où les oiseaux migraient. Cette croyance est mentionnée dans les écrits de Geoffrey Chaucer au XIVe siècle. Il était courant durant cette période que les amoureux échangent des billets et qu'ils s'appellent chacun leur Valentin. Un de ces billets du XIVe siècle se trouverait à la British Library. Il est probable que nombre de légendes sur la Saint-Valentin aient été inventées pendant cette période. Parmi ces légendes, on trouve celles-ci :
La veille du martyre de Saint Valentin, il a glissé un « valentin » à la fille du geôlier qui aurait lu « de la part de votre Valentin ».
Pendant une période d'interdiction de mariage des soldats romains par l'empereur Claude II, Saint Valentin arrangeait secrètement les mariages. Dans la plupart des versions de cette légende, le 14 février est la date liée à son martyre.
Au début du XVe siècle, l'œuvre de Charles d'Orléans comporte plusieurs poèmes dédiés à la Saint-Valentin.
Les reliques :
Il existe plusieurs saints, donc plusieurs sites :
à Dublin : au XIXe siècle, les reliques de saint Valentin de Terni furent léguées par le pape Grégoire XVI à l'église des Carmelites de la rue Whitefriar à Dublin, qui est alors devenue un lieu de pèlerinage pour le 14 février. En 1969, dans le souci d'épurer le calendrier catholique de tous les saints légendaires, l'Église a ôté le jour de la Saint-Valentin de son calendrier officiel.
à Roquemaure : depuis le 25 octobre 1868, l’église de Roquemaure dans le Gard abrite les reliques d’un saint Valentin. En 1868 elles furent achetées à Rome par un riche propriétaire viticole du pays qui les utilisa dans le but de protéger les vignobles du phylloxera, apparu ici deux ans auparavant.
La Saint-Valentin dans les pays non occidentaux :
En Chine et à Taiwan, depuis les années 1980, la Saint-Valentin connait une popularité importante, notamment chez les jeunes, qui génère diverses activités commerciales. À part la Saint-Valentin, il existe une fête traditionnelle, le Qi Qiao Jie, pour les amoureux provenant d'une légende ancienne, dont la date est le 7 du septième mois du calendrier lunaire.
Au Japon, cette pratique a été a une époque une obligation pour beaucoup de femmes, notamment les employées de bureau, qui devaient offrir des chocolats à tous leurs collègues masculins, parfois à un coût très élevé (ces chocolats etaient d'ailleurs appelés "Giri Choco", c’est-à-dire "chocolats d'obligation"). Le 14 mars est appelé jour blanc , c'est un phénomène commercial créé au Japon et repris par la Coree du Sud, Taiwan et Hong Kong. A cette date les hommes sont censés offrir un linge (ou autre present) blanc à celles qui leur ont offert des chocolats. La jeune fille peut exiger à cette occasion un présent dont la valeur est trois fois supérieure à la valeur des chocolats offerts un mois plus tôt.
La Saint-Valentin s'est popularisée également en Inde, au Pakistan et jusqu'en Arabie saoudite, provoquant l'hostilité de certains groupes opposés à cette influence « occidentale ».
Au Brésil, on ne parle pas de St-Valentin mais de "dia dos namorados" (jour des amoureux) fêté non pas le 14 février mais le 12 juin."
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Valentin
La Saint-Valentin, c'est peut-être le moment de tester certaines épices : Epices et désir, le saviez-vous ? Découvrez leurs pouvoirs aphrodisiaques :
Clous de girofle : Un des plus puissants aphrodisiaques naturels. Il lutte aussi contre la fatigue mentale et la perte de mémoire.
Coriandre : Sa graine sèche dans le vin a un effet euphorique, particulièrement pour les femmes. Toutefois il est recommandé pour les hommes de ne pas abuser de la substance afin d'éviter des effets opposés.
Gingembre : Il a été employé dans des boissons destinées à exciter les sens. Pris dans des doses raisonnables, il cause des salutaires flux chauds; dans des doses excessives, il irrite les intestins.
Noix de muscade : Pas très puissante pour les femmes, elle a la réputation d'être le meilleur ami de l'homme.
Safran : Le safran a des propriétés stimulantes sur les zones érogènes. Les études ont montré qu'il a des effets semblables à celui des hormones. Mais attention et observez votre consommation: les doses excessives de safran causent le fou rire incontrôlable.
Thym : Tonique pour les nerfs, avec des effets aphrodisiaques. C'est, d'ailleurs, un puissant purificateur pour le corps.
Vanille : A un effet euphorisant et peut être utilisé à volonté. Elle combat l'asthénie sexuelle, agit sur le système nerveux central et, par son odeur, agit indirectement sur la stimulation sexuelle.
Poivre de Cayenne : Contient un montant élevé de vitamine C. Il est un agent excitant qui stimule la circulation. Les piments mexicains rouges et verts ont les mêmes propriétés.
Fouillez dans ces recettes pour trouver celles de votre menu de Saint-Valentin :
http://www.epicesdumonde.com/recettes
http://www.recettes-blogs.com/menu-de-saint-valentin-en-tete-a-tete/01/29
http://www.goosto.fr/recette-de-cuisine/theme/saint-valentin-diner-a-deux-10002256.htm
http://www.cuisineaz.com/Categories/Et-aussi/Recettes-Saint-Valentin-297.aspx
Idées de menu :
http://www.chezfrances.com/suggestionchef/index-menus/index-st-valentin
http://alatabledel.canalblog.com/archives/2006/02/13/1341025.html
http://www.aufeminin.com/cuisine/valentin/valentin1__page=2&-Menu-Saint-Valentin-Recettes-Demon.html
Vous préférez déjà tout préparé ?
http://fr.fauchon.com/fr/fr/&rt75=3262&wx=2952#/acheter-en-ligne/saint-valentin
À l'origine fête de l'Église catholique, le jour de la Saint-Valentin n'aurait pas été associé avec l'amour romantique avant le haut Moyen Âge. La fête est maintenant associée plus étroitement à l'échange mutuel de « billets doux » ou de valentins illustrés de symboles tels qu'un cœur ou un Cupidon ailé.
À l'envoi de billets au XIXe siècle a succédé l'échange de cartes de vœux.
Les fêtes de la fertilité du mois de février :
L'association du milieu du mois de février avec l'amour et la fertilité date de l'antiquité. Dans le calendrier de l'Athènes antique, la période de mi-janvier à mi-février était le mois de Gamélion, consacré au mariage sacré de Zeus et de Héra.
Dans la Rome antique, le jour du 15 février était nommé les lupercales ou festival de Lupercus, le dieu de la fertilité, que l'on représente vêtu de peaux de chèvre. Les prêtres de Lupercus sacrifiaient des chèvres au dieu et, après avoir bu du vin, ils couraient dans les rues de Rome a moitié nu et touchaient les passants en tenant des morceaux de peau de chèvre à la main. Les jeunes femmes s'approchaient volontiers, car être touchée ainsi était censé rendre fertile et faciliter l'accouchement. Cette solennité païenne honorait Junon, déesse romaine des femmes et du mariage, ainsi que Pan, le dieu de la nature.
Au moins trois saints différents sont nommés Valentin, tous trois martyrs. Leur fête a été fixée le 14 février par décret du pape Gelase Ier, aux alentours de 498. C'est à cette date qu'ils sont mentionnés dans les premiers martyrologes :
Valentin de Rome, un prêtre qui a souffert le martyr à Rome dans la seconde moitié du IIIe siècle et qui a été enterré sur la Via Flaminia.
Valentin de Terni, un évêque d'Interamma (le Terni moderne), qui a également souffert le martyre dans la deuxième moitié du IIIe siècle et qui a également été enterré sur la Via Flaminia.
Un martyr en Afrique du Nord dont on ne sait presque rien.
Le rapprochement entre la Saint-Valentin et l'amour courtois n'est mentionné dans aucune histoire ancienne et est considéré par des historiens comme une légende. Il existe une légende selon laquelle la fête de la Saint-Valentin a été créée pour contrecarrer la pratique des lupercales par les jeunes amoureux qui dessinaient leurs noms sur une urne. Mais cette pratique n'est citée dans aucune source écrite de l'époque.
Le jour de la Saint-Valentin a longtemps été célébré comme étant la fête des célibataires et non des couples. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leurs villages et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent (définition des lupercales). À l'issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l'année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l'expansion des villages.Cette pratique laissait libre cours à beaucoup de tricheries de la part de couples officieux ainsi que des hommes qui visaient une jeune fille en particulier et notamment « la plus belle du village », très courtisée.
L'époque médiévale :
La première mention du jour de la Saint-Valentin avec une connotation amoureuse remonte au XIVe siècle en Angleterre et en France, où l'on croyait que le 14 février était le jour où les oiseaux migraient. Cette croyance est mentionnée dans les écrits de Geoffrey Chaucer au XIVe siècle. Il était courant durant cette période que les amoureux échangent des billets et qu'ils s'appellent chacun leur Valentin. Un de ces billets du XIVe siècle se trouverait à la British Library. Il est probable que nombre de légendes sur la Saint-Valentin aient été inventées pendant cette période. Parmi ces légendes, on trouve celles-ci :
La veille du martyre de Saint Valentin, il a glissé un « valentin » à la fille du geôlier qui aurait lu « de la part de votre Valentin ».
Pendant une période d'interdiction de mariage des soldats romains par l'empereur Claude II, Saint Valentin arrangeait secrètement les mariages. Dans la plupart des versions de cette légende, le 14 février est la date liée à son martyre.
Au début du XVe siècle, l'œuvre de Charles d'Orléans comporte plusieurs poèmes dédiés à la Saint-Valentin.
Les reliques :
Il existe plusieurs saints, donc plusieurs sites :
à Dublin : au XIXe siècle, les reliques de saint Valentin de Terni furent léguées par le pape Grégoire XVI à l'église des Carmelites de la rue Whitefriar à Dublin, qui est alors devenue un lieu de pèlerinage pour le 14 février. En 1969, dans le souci d'épurer le calendrier catholique de tous les saints légendaires, l'Église a ôté le jour de la Saint-Valentin de son calendrier officiel.
à Roquemaure : depuis le 25 octobre 1868, l’église de Roquemaure dans le Gard abrite les reliques d’un saint Valentin. En 1868 elles furent achetées à Rome par un riche propriétaire viticole du pays qui les utilisa dans le but de protéger les vignobles du phylloxera, apparu ici deux ans auparavant.
La Saint-Valentin dans les pays non occidentaux :
En Chine et à Taiwan, depuis les années 1980, la Saint-Valentin connait une popularité importante, notamment chez les jeunes, qui génère diverses activités commerciales. À part la Saint-Valentin, il existe une fête traditionnelle, le Qi Qiao Jie, pour les amoureux provenant d'une légende ancienne, dont la date est le 7 du septième mois du calendrier lunaire.
Au Japon, cette pratique a été a une époque une obligation pour beaucoup de femmes, notamment les employées de bureau, qui devaient offrir des chocolats à tous leurs collègues masculins, parfois à un coût très élevé (ces chocolats etaient d'ailleurs appelés "Giri Choco", c’est-à-dire "chocolats d'obligation"). Le 14 mars est appelé jour blanc , c'est un phénomène commercial créé au Japon et repris par la Coree du Sud, Taiwan et Hong Kong. A cette date les hommes sont censés offrir un linge (ou autre present) blanc à celles qui leur ont offert des chocolats. La jeune fille peut exiger à cette occasion un présent dont la valeur est trois fois supérieure à la valeur des chocolats offerts un mois plus tôt.
La Saint-Valentin s'est popularisée également en Inde, au Pakistan et jusqu'en Arabie saoudite, provoquant l'hostilité de certains groupes opposés à cette influence « occidentale ».
Au Brésil, on ne parle pas de St-Valentin mais de "dia dos namorados" (jour des amoureux) fêté non pas le 14 février mais le 12 juin."
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Valentin
La Saint-Valentin, c'est peut-être le moment de tester certaines épices : Epices et désir, le saviez-vous ? Découvrez leurs pouvoirs aphrodisiaques :
Clous de girofle : Un des plus puissants aphrodisiaques naturels. Il lutte aussi contre la fatigue mentale et la perte de mémoire.
Coriandre : Sa graine sèche dans le vin a un effet euphorique, particulièrement pour les femmes. Toutefois il est recommandé pour les hommes de ne pas abuser de la substance afin d'éviter des effets opposés.
Gingembre : Il a été employé dans des boissons destinées à exciter les sens. Pris dans des doses raisonnables, il cause des salutaires flux chauds; dans des doses excessives, il irrite les intestins.
Noix de muscade : Pas très puissante pour les femmes, elle a la réputation d'être le meilleur ami de l'homme.
Safran : Le safran a des propriétés stimulantes sur les zones érogènes. Les études ont montré qu'il a des effets semblables à celui des hormones. Mais attention et observez votre consommation: les doses excessives de safran causent le fou rire incontrôlable.
Thym : Tonique pour les nerfs, avec des effets aphrodisiaques. C'est, d'ailleurs, un puissant purificateur pour le corps.
Vanille : A un effet euphorisant et peut être utilisé à volonté. Elle combat l'asthénie sexuelle, agit sur le système nerveux central et, par son odeur, agit indirectement sur la stimulation sexuelle.
Poivre de Cayenne : Contient un montant élevé de vitamine C. Il est un agent excitant qui stimule la circulation. Les piments mexicains rouges et verts ont les mêmes propriétés.
Fouillez dans ces recettes pour trouver celles de votre menu de Saint-Valentin :
http://www.epicesdumonde.com/recettes
http://www.recettes-blogs.com/menu-de-saint-valentin-en-tete-a-tete/01/29
http://www.goosto.fr/recette-de-cuisine/theme/saint-valentin-diner-a-deux-10002256.htm
http://www.cuisineaz.com/Categories/Et-aussi/Recettes-Saint-Valentin-297.aspx
Idées de menu :
http://www.chezfrances.com/suggestionchef/index-menus/index-st-valentin
http://alatabledel.canalblog.com/archives/2006/02/13/1341025.html
http://www.aufeminin.com/cuisine/valentin/valentin1__page=2&-Menu-Saint-Valentin-Recettes-Demon.html
Vous préférez déjà tout préparé ?
http://fr.fauchon.com/fr/fr/&rt75=3262&wx=2952#/acheter-en-ligne/saint-valentin
13 février 2008
Recettes du Nouvel An Chinois
DAN SAN
Ingrédients : Pour 10 à 15 pièces
Pâte : 300 g de farine 600 g de saindoux 2 cuil. à sp. d’eau 1 oeuf
Le sirop : 300 g de sucre 5 cuil. à sp. d’eau
Pâte : 300 g de farine 600 g de saindoux 2 cuil. à sp. d’eau 1 oeuf
Le sirop : 300 g de sucre 5 cuil. à sp. d’eau
Finition : 100 g de grain de sésame
Mélanger la farine et le saindoux, puis l’oeuf jusqu’à l’obtention d’une pâte souple.
Etaler la pâte au rouleau à 2 cm d’épaisseur.
Couper des rectangles de pâte. Superposer deux rectangles.
Inciser le milieu et rabattre un côté de la pâte dans la fente de manière à avoir une forme de noeud papillon et coller les deux morceaux de pâte.
Faire cuire les « noeuds papillon » et mettre de côté.
Faire le sirop (il doit être visqueux).
Tremper les « noeuds » cuits dans le sirop.
Retirer et saupoudrer de grains de sésame.
Etaler la pâte au rouleau à 2 cm d’épaisseur.
Couper des rectangles de pâte. Superposer deux rectangles.
Inciser le milieu et rabattre un côté de la pâte dans la fente de manière à avoir une forme de noeud papillon et coller les deux morceaux de pâte.
Faire cuire les « noeuds papillon » et mettre de côté.
Faire le sirop (il doit être visqueux).
Tremper les « noeuds » cuits dans le sirop.
Retirer et saupoudrer de grains de sésame.
JIAOZI (Raviolis chinois)
Ingrédients : Pour 35 à 40 pièces
Pâte : 500 g de farine 270 g d’eau
Farce : 300 g de porc haché 150 g de chou chinois émincé, dégorgé au sel 2 bouquets de coriandre hachés 100 g de gingembre haché 2 gousses d’ail haché 1 cuil. à sp. de sauce de soja brun 1 cuil. à sp. d’huile de sésame : Mélanger le tout
Sauce : 4 cuil. à sp. de sauce de soja clair 1 cuil. à sp. d’huile de sésame 1 cuil. à sp. de vinaigre 2 gousses d’ail haché poivre : Mélanger le tout
Farce : 300 g de porc haché 150 g de chou chinois émincé, dégorgé au sel 2 bouquets de coriandre hachés 100 g de gingembre haché 2 gousses d’ail haché 1 cuil. à sp. de sauce de soja brun 1 cuil. à sp. d’huile de sésame : Mélanger le tout
Sauce : 4 cuil. à sp. de sauce de soja clair 1 cuil. à sp. d’huile de sésame 1 cuil. à sp. de vinaigre 2 gousses d’ail haché poivre : Mélanger le tout
Etaler la pâte.
Diviser la pâte en ronds de 12 cm de diamètre.
Mettre la farce au centre et rabattre.
Fermer par pression des doigts de manière à obtenir un demi cercle de guirlande de pâte, et de conférer aux raviolis la forme d’une demi lune légèrement bombée au ventre (le ventre doit faire 2,5 cm de rayon et 3,5 cm de guirlande environ).
Cuire à l’eau bouillante, puis décanter.
Servir avec la sauce.
Diviser la pâte en ronds de 12 cm de diamètre.
Mettre la farce au centre et rabattre.
Fermer par pression des doigts de manière à obtenir un demi cercle de guirlande de pâte, et de conférer aux raviolis la forme d’une demi lune légèrement bombée au ventre (le ventre doit faire 2,5 cm de rayon et 3,5 cm de guirlande environ).
Cuire à l’eau bouillante, puis décanter.
Servir avec la sauce.
LABA ZHOU
Ingrédients : Pour 10 personnes
Base 1 : 3 litres d’eau 30 g de riz glutineux 30 g de soja décortiqué 50 g de lentilles 1 cuillère à soupe d’huile 450 g de sucre
Base 2 : 20 g de jujube hachée 20 g de chataîgne hachée 20 g de grains de lotus 20 g de longane séché
Cuire ensemble la base 1 pendant 2 heures.
Base 1 : 3 litres d’eau 30 g de riz glutineux 30 g de soja décortiqué 50 g de lentilles 1 cuillère à soupe d’huile 450 g de sucre
Base 2 : 20 g de jujube hachée 20 g de chataîgne hachée 20 g de grains de lotus 20 g de longane séché
Cuire ensemble la base 1 pendant 2 heures.
Réduire le feu après ébulition.
Rajouter la base 2, 15 minutes avant la fin de la cuisson et servir.
Rajouter la base 2, 15 minutes avant la fin de la cuisson et servir.
NIAN GAO aux cents fruits
Ingrédients : Pour 8 personnes
100 g de farine de riz glutineux 150 g de farine de riz 1 verre d’eau 100 g de sucre 3 cuil. à sp. de saindoux 2 cuil. à sp. d’alcool de cannelier 100 g de fruits secs : jujube, peau d’orange confite, dattes, litchi séchés
Faire un sirop avec le sucre et l’eau, laisser refroidir.
Mélanger les deux farines.
Délayer avec le sirop puis ajouter le saindoux.
Une fois le mélange homogène, parfumer à l’alcool, puis l’enrichir de fruits secs.
Huiler un moule de 18 cm de diamètre et de 5 cm de hauteur.
Verser le tout.
Cuire à la vapeur 50 mn.
Laisser refroidir et servir.
Mélanger les deux farines.
Délayer avec le sirop puis ajouter le saindoux.
Une fois le mélange homogène, parfumer à l’alcool, puis l’enrichir de fruits secs.
Huiler un moule de 18 cm de diamètre et de 5 cm de hauteur.
Verser le tout.
Cuire à la vapeur 50 mn.
Laisser refroidir et servir.
D'autres recettes ? Consultez ces sites :
Nónglì Xīnnián
Zǎo 'ān, Bonjour,
Depuis le 7 Février (jusqu'au 25 Janvier 2009) c'est le Nouvel An Chinois ou la Fête du Printemps, l'année du RAT DE TERRE.
Je souhaite une excellente année à toutes les chinoises et à tous les chinois du monde entier.
Le Nouvel An Chinois est la fête la plus importante pour les communautés chinoises à travers le monde entier. C'est le début de la fête du printemps qui se déroule sur quinze jours et s’achève avec la fête des lanternes.
Cette fête est un moment dont on profite en prenant des vacances, en se réunissant en famille et entre amis. Donc, une pensée toute particulière à toutes celles et ceux qui ont du écourter ou annuler leurs vacances en famille, à cause des importantes chutes de neige qui sont tombées depuis mi-Janvier. Mais surtout aux familles des victimes de ces intempéries. http://www.aujourdhuilachine.com/informations-chine-les-recentes-intemperies-en-chine-ont-fait--morts-5650.asp?1=1
"Le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An Chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 20 février. C’est, comme tous les commencements de mois lunaires chinois, le premier jour d'une nouvelle Lune. Par convention, l'alignement astronomique qui signale la nouvelle Lune est déterminé à l’observatoire de la Montagne Pourpre à Nankin.
Le Nouvel An est célébré officiellement en Chine (sept jours de congés) et à Taïwan (cinq jours), à Hong Kong et Macao (trois jours), ainsi que dans certains pays d’Asie où l’influence de la culture chinoise est importante, ou dont la population comprend une forte minorité de Chinois ethniques : Singapour et Malaisie (deux jours), Brunei et Indonésie (un jour), Viêt Nam (fête du Têt, trois jours, avec un jour de décalage avec la Chine tous les 22 ou 23 ans pour compenser le décalage horaire entre Pékin et Hanoï), Corée du Sud (fête de Seollal, trois jours).
Les congés du Nouvel An, qui peuvent être prolongés par un week-end ou un pont, sont une période de migration intense, car nombreux sont ceux qui s’efforcent de rejoindre leur famille, depuis l’étranger parfois : embouteillages sur les routes et encombrements dans les gares et les aéroports sont la règle.
Il est observé individuellement partout dans le monde par les membres de la diaspora chinoise, et parfois également par les Japonais, les Miao, les Mongols, les Tibétains, les Népalais et les Bhoutanais.
Célébrations traditionnelles : Décoration traditionnelle. Les célébrations, coutumes et tabous de la fête de printemps varient dans les détails selon les régions ou les époques. La pratique générale veut qu'on s'efforce de repartir sur un nouveau pied après s'être débarrassé des mauvaises influences de l’an passé, accompagné de signes de bon augure. On a recours à des objets ou aliments présentant une homophonie avec un mot de sens auspicieux.
Le « passage de l’année » (guònián) s’effectue dans la nuit du dernier jour du douzième mois. Le mot signifiant année est considéré comme étant à l’origine celui du monstre Nian qui venait autrefois rôder autour des villages une nuit par an, obligeant les habitants à se calfeutrer et à veiller jusqu’à son départ au petit matin. Les célébrations principales comportent un réveillon (niányèfàn) comprenant des plats aux noms auspicieux, suivi d’une nuit de veille (shǒusuì) gage de longévité, que certains occupent à jouer au mahjong, la distribution d’étrennes (yāsuìqián) contenues dans des enveloppes rouges, l’allumage de pétards pour chasser les mauvaises influences.
Préparations : Porte à Lijiang avec des inscriptions parallèles. Objet décoratif imitant un lingot d’or yuanbao.
La semaine précédant le nouvel An, traditionnellement le 23 ou le 24 du 12e mois, a lieu le « petit Nouvel An » (guòxiǎonián), une cérémonie d'adieu au Génie du Foyer (Zàowángyé) dont l’effigie est collée dans la cuisine. D'après les croyances, il doit faire un long voyage pour rapporter, comme chaque année, les bonnes et mauvaises actions de la famille à l'Empereur de jade. Pour obtenir sa clémence, on dépose des aliments (plutôt collants, comme des bonbons) devant son image en espérant l'empêcher de dire du mal ; certains collent directement une sucrerie sur la bouche de son portrait. Celui-ci est brûlé, et le Génie s’envole avec la fumée. Un nouveau portrait sera affiché quelques jours plus tard, signalant son retour.
Le grand nettoyage de la maison est fait. Le dernier jour, on affiche un peu partout des souhaits écrits sur papier rouge, symbole de chance. Il s’agit de caractères auspicieux comme fú ( bonheur), ou chūn (printemps), souvent collés à l’envers car renverser (dào) est homophone de arriver (dào). Un fu renversé signifie donc : « Le bonheur est arrivé». Traditionnellement, de chaque côté des montants de la porte d’entrée, on colle une bande de papier rouge sur laquelle est écrit un vers ; les deux vers se répondent et constituent une inscription parallèle (duìlián) ; elles étaient autrefois toujours écrites à la main, de préférence par des personnes aux dons littéraires et calligraphiques. Bien sûr, les décorations et inscriptions de l’an passé ont été tout d’abord retirées.
Des provisions sont faites, préparation importante autrefois car tous les commerces fermaient pendant les congés. Elles comprennent beaucoup de choses à grignoter en famille : graines de pastèque, fruits secs, bonbons etc. Faire les courses en vue du Nouvel An se dit bàn niánhuò. On faisait aussi l’achat de vêtements neufs, particulièrement pour les enfants. C'était auparavant une occasion bienvenue de renouveler sa garde-robe, mais avec le développement de l’industrie du prêt-à-porter, cette coutume a un peu perdu de sa valeur.
Réveillon : Niangao , pâtisserie traditionnelle du Nouvel An : pâte de haricot rouge entre deux couches de pâte de riz glutineux parfumé au longane.
Le repas de Nouvel An a souvent lieu au domicile des aînés de la famille. Dans les régions au mode de vie traditionnel, du fait de la coutume patrilocale, il s'agit de la famille paternelle.
À l'heure du réveillon, le dîner ne peut commencer que lorsque toute la famille est présente (des places vides sont réservées aux membres ne pouvant assister au repas). Il est généralement copieux et comporte souvent des plats symboliques pour assurer la santé, les études, etc. Ainsi le poisson (yú), homophone de surplus (yú), doit être présent à chaque repas de Nouvel An pour garantir qu’il y aura du surplus tous les ans (niánnián yǒuyú) et qu’on ne manquera jamais de rien ; certains prennent même soin de ne pas le finir, afin de rendre plus complètement son sens symbolique. Dans le nord de la Chine, on sert en principe un plat de raviolis (jiǎozi) car leur forme évoque celle des yuánbǎo, lingots anciens. Le dessert traditionnel est le niángāo, « gâteau de l'An » ; gāo, gâteau, est homophone de grandir, et en manger constitue un gage de croissance dans tous les domaines souhaités.
Chaîne de pétards : Des enveloppes rouges contenant de l’argent sont offertes. Traditionnellement, elles étaient distribuées par les aînés aux enfants et aux jeunes non mariés, et avaient surtout la valeur symbolique de porter chance durant toute la nouvelle année. Lors des distributions solennelles par les aînés, la personne qui va recevoir l’enveloppe leur adresse un vœu ou « parole auspicieuse » (íxiáng huà) ; le plus courant est « félicitations, et faites fortune » (gōngxǐ fācái). Beaucoup d’enveloppes rouges contiennent une somme modeste, en nombre pair de billets, mais il arrive que ce soit le moyen par lequel une personne professionnellement active remet à ses parents âgés ou à ses enfants toute une année d’argent de poche. Lors des visites à la famille et aux amis dans les jours qui suivent, il est coutume d’offrir une enveloppe aux enfants des visiteurs ou des visités ; beaucoup ont donc soin de s’approvisionner en petites coupures avant la période de la fête.
Les enfants étaient autorisés ce soir-là à faire éclater des pétards ou à faire brûler des feux de bengale, en attendant la chaîne de pétards que chaque foyer se devait d’allumer à l’arrivée du premier jour de l’année (minuit au XXIe siècle, mais autrefois on changeait de jour à 11 h du soir). Néanmoins, à cause des accidents de plus en plus fréquents dus à la concentration urbaine, beaucoup de pays ont interdit les pétards privés. Des modèles électriques lumineux et sonorisés sont proposés sous le nom de « pétards électriques » (diànbīanpào), avec un succès variable.
Danse de lion : Une coutume ancienne veut qu’on aille se coucher le plus tard possible ce soir-là, car ce serait un gage de longévité ; cela s’appelle « monter la garde de l’année » (shǒusuì). Une télévision aide largement à remplir cet objectif, mais un jeu (mahjong par exemple) est aussi souvent choisi, d’autant que pour certains il est bon de tenter sa chance pendant la nuit du Nouvel An. Dans certaines régions, les jeux d’argent habituellement interdits étaient exceptionnellement autorisés pendant la fête de printemps.
Premier jour de l’année : Si les règlements locaux le permettent, une chaîne de pétards est allumée dès onze heures ou minuit. Le matin, après un court repos, beaucoup se rendent au temple local, puis sur les tombes ancestrales s’ils habitent à proximité. On considère que plus la visite au temple est précoce, plus on aura de chance dans l’année. Il arrive donc que les fidèles se massent devant les grands temples avant l’ouverture des portes pour être le premier à planter sa baguette d’encens dans le brûle-parfum. Dans certaines villes, un temple ouvre à minuit, première heure du premier jour. Certains prennent ce jour au moins un repas végétarien. Les familles qui en avaient les moyens commandaient une danse de lion ou de dragon (qui représente Noblesse, Bravoure et Chance). Dans certaines cités hors de Chine comme Paris, la diaspora chinoise organise une parade ; la tradition en a débuté à San Francisco dans la seconde moitié du XIXe siècle.
La première journée était théoriquement consacrée aux visites, en commençant par les personnes les plus importantes (parents aînés, supérieurs hiérarchiques) ; cette activité s'appelle " saluer l’année "(bàinián) ; de nos jours le téléphone est largement utilisé. Les familles en deuil sont traditionnellement exemptées de visites pendant une durée variable.
Le jour du Nouvel An, on doit théoriquement porter des vêtements neufs, et beaucoup aiment que du rouge, couleur auspicieuse, y apparaisse. On ne fait pas de ménage, et si l'on doit absolument balayer des détritus tombés à terre, il ne faut pas les déposer à l'extérieur du domicile car cela symboliserait une perte. Certains estiment qu'il est mauvais de faire une grande toilette ce jour-là.
Jours suivants : « Félicitations et faites fortune » sur le Lee Theatre Plaza, Hong Kong
Le deuxième jour est traditionnellement celui où les femmes mariées rendent visite à leur famille avec enfants et mari.
Dans certaines régions, les visites étaient déconseillées durant le troisième jour car elles étaient censées facilement donner lieu à des altercations (« bouche rouge » chìkǒu).
Le cinquième jour est en général celui où les commerces rouvrent. À Hong Kong c’est l’anniversaire du Dieu de la richesse. Des pétards sont allumés, et parfois des danses de lions commandées.
Le septième jour était pour certains celui où tout le monde changeait d’âge, les dates de naissances exactes étant autrefois tenues secrètes. D'autres, néanmoins, estiment que l’âge change le premier jour de la nouvelle année.
Le huitième ou neuvième jour — selon les régions — est l’anniversaire du dieu du Ciel (Tiāngōng) assimilé à l’Empereur de jade. Une cérémonie se déroule chez soi ou au temple tard le soir, au début de la nouvelle journée.
Le quinze du premier mois est la dernière journée de la Fête de printemps, marquée par la Fête des lanternes.
Vœux de Nouvel An : Le vœu traditionnel, particulièrement dans le nord de la Chine, est « Bon passage de l’année » (guònián hǎo) Il est souvent remplacé par « Bonne année », utilisable également le premier janvier, début officiel de l'année en Chine et à Taïwan (Xīnnián kuàilè ; cantonais : Sun nin fai lok ). Le « Félicitations, et faites fortune » mentionné plus haut peut être aussi utilisé, mais tend à être plus particulièrement lié aux distributions d’enveloppes rouges." http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_An_chinois
Quelques sites pour des informations complémentaires :
http://www.kutchuk.com/agenda/nouvelanchinois/ritesavant.htm
http://www.asiaflash.com/astrochina/annee-rat.shtml
http://www.eurasie.net/webzine/rubrique.php3?id_rubrique=35
(queqlues dates des manifestations en France)
Le 9 février à Paris, un défilé a eu lieu dans le 13ème arrondissement :
http://www.chine-informations.com/actualite/chine-photos-du-defile-du-nouvel-an-chinois-2008-a-paris_8652.html
http://www.chine-informations.com/actualite/chine-photos-du-defile-du-nouvel-an-chinois-2008-a-paris-2_8649.html
http://www.chine-informations.com/actualite/chine-photos-du-defile-du-nouvel-an-chinois-2008-a-paris-3_8650.html
Défilé du Nouvel An Chinois à Paris par Bondy_Blog
17 milliards de sms envoyés pendant les vacances du nouvel an chinois !!!
L'effet "année du rat" fait flamber le prix du hamster en Chine, de 5 Yuans (0,50 €) à 30 Yuans (3 €) !
http://www.aujourdhuilachine.com/
Le Nouvel An Chinois en Thaïlande, discret (le décès le 2 janvier de Son Altesse la Princesse Galyani Vadhana, sœur ainée du Roi Bhumibol Adulyadej, les autorités ont demandé aux institutions publiques et privées, ainsi qu’aux particuliers, de modérer les manifestations de liesse ostentatoires) :
http://www.monasie.com/2008/02/nouvel-chinois-la-maison.html
http://www.lepetitjournal.com/content/view/23357/1013/
Le Nouvel An Chinois en Polynésie Française :
http://familletouvron.over-blog.net/article-16461603-6.html
http://www.fenua-tahiti.com/categorie-10312377.html pages 1 et 2.
Depuis le 7 Février (jusqu'au 25 Janvier 2009) c'est le Nouvel An Chinois ou la Fête du Printemps, l'année du RAT DE TERRE.
Je souhaite une excellente année à toutes les chinoises et à tous les chinois du monde entier.
Le Nouvel An Chinois est la fête la plus importante pour les communautés chinoises à travers le monde entier. C'est le début de la fête du printemps qui se déroule sur quinze jours et s’achève avec la fête des lanternes.
Cette fête est un moment dont on profite en prenant des vacances, en se réunissant en famille et entre amis. Donc, une pensée toute particulière à toutes celles et ceux qui ont du écourter ou annuler leurs vacances en famille, à cause des importantes chutes de neige qui sont tombées depuis mi-Janvier. Mais surtout aux familles des victimes de ces intempéries. http://www.aujourdhuilachine.com/informations-chine-les-recentes-intemperies-en-chine-ont-fait--morts-5650.asp?1=1
"Le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An Chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 20 février. C’est, comme tous les commencements de mois lunaires chinois, le premier jour d'une nouvelle Lune. Par convention, l'alignement astronomique qui signale la nouvelle Lune est déterminé à l’observatoire de la Montagne Pourpre à Nankin.
Le Nouvel An est célébré officiellement en Chine (sept jours de congés) et à Taïwan (cinq jours), à Hong Kong et Macao (trois jours), ainsi que dans certains pays d’Asie où l’influence de la culture chinoise est importante, ou dont la population comprend une forte minorité de Chinois ethniques : Singapour et Malaisie (deux jours), Brunei et Indonésie (un jour), Viêt Nam (fête du Têt, trois jours, avec un jour de décalage avec la Chine tous les 22 ou 23 ans pour compenser le décalage horaire entre Pékin et Hanoï), Corée du Sud (fête de Seollal, trois jours).
Les congés du Nouvel An, qui peuvent être prolongés par un week-end ou un pont, sont une période de migration intense, car nombreux sont ceux qui s’efforcent de rejoindre leur famille, depuis l’étranger parfois : embouteillages sur les routes et encombrements dans les gares et les aéroports sont la règle.
Il est observé individuellement partout dans le monde par les membres de la diaspora chinoise, et parfois également par les Japonais, les Miao, les Mongols, les Tibétains, les Népalais et les Bhoutanais.
Célébrations traditionnelles : Décoration traditionnelle. Les célébrations, coutumes et tabous de la fête de printemps varient dans les détails selon les régions ou les époques. La pratique générale veut qu'on s'efforce de repartir sur un nouveau pied après s'être débarrassé des mauvaises influences de l’an passé, accompagné de signes de bon augure. On a recours à des objets ou aliments présentant une homophonie avec un mot de sens auspicieux.
Le « passage de l’année » (guònián) s’effectue dans la nuit du dernier jour du douzième mois. Le mot signifiant année est considéré comme étant à l’origine celui du monstre Nian qui venait autrefois rôder autour des villages une nuit par an, obligeant les habitants à se calfeutrer et à veiller jusqu’à son départ au petit matin. Les célébrations principales comportent un réveillon (niányèfàn) comprenant des plats aux noms auspicieux, suivi d’une nuit de veille (shǒusuì) gage de longévité, que certains occupent à jouer au mahjong, la distribution d’étrennes (yāsuìqián) contenues dans des enveloppes rouges, l’allumage de pétards pour chasser les mauvaises influences.
Préparations : Porte à Lijiang avec des inscriptions parallèles. Objet décoratif imitant un lingot d’or yuanbao.
La semaine précédant le nouvel An, traditionnellement le 23 ou le 24 du 12e mois, a lieu le « petit Nouvel An » (guòxiǎonián), une cérémonie d'adieu au Génie du Foyer (Zàowángyé) dont l’effigie est collée dans la cuisine. D'après les croyances, il doit faire un long voyage pour rapporter, comme chaque année, les bonnes et mauvaises actions de la famille à l'Empereur de jade. Pour obtenir sa clémence, on dépose des aliments (plutôt collants, comme des bonbons) devant son image en espérant l'empêcher de dire du mal ; certains collent directement une sucrerie sur la bouche de son portrait. Celui-ci est brûlé, et le Génie s’envole avec la fumée. Un nouveau portrait sera affiché quelques jours plus tard, signalant son retour.
Le grand nettoyage de la maison est fait. Le dernier jour, on affiche un peu partout des souhaits écrits sur papier rouge, symbole de chance. Il s’agit de caractères auspicieux comme fú ( bonheur), ou chūn (printemps), souvent collés à l’envers car renverser (dào) est homophone de arriver (dào). Un fu renversé signifie donc : « Le bonheur est arrivé». Traditionnellement, de chaque côté des montants de la porte d’entrée, on colle une bande de papier rouge sur laquelle est écrit un vers ; les deux vers se répondent et constituent une inscription parallèle (duìlián) ; elles étaient autrefois toujours écrites à la main, de préférence par des personnes aux dons littéraires et calligraphiques. Bien sûr, les décorations et inscriptions de l’an passé ont été tout d’abord retirées.
Des provisions sont faites, préparation importante autrefois car tous les commerces fermaient pendant les congés. Elles comprennent beaucoup de choses à grignoter en famille : graines de pastèque, fruits secs, bonbons etc. Faire les courses en vue du Nouvel An se dit bàn niánhuò. On faisait aussi l’achat de vêtements neufs, particulièrement pour les enfants. C'était auparavant une occasion bienvenue de renouveler sa garde-robe, mais avec le développement de l’industrie du prêt-à-porter, cette coutume a un peu perdu de sa valeur.
Réveillon : Niangao , pâtisserie traditionnelle du Nouvel An : pâte de haricot rouge entre deux couches de pâte de riz glutineux parfumé au longane.
Le repas de Nouvel An a souvent lieu au domicile des aînés de la famille. Dans les régions au mode de vie traditionnel, du fait de la coutume patrilocale, il s'agit de la famille paternelle.
À l'heure du réveillon, le dîner ne peut commencer que lorsque toute la famille est présente (des places vides sont réservées aux membres ne pouvant assister au repas). Il est généralement copieux et comporte souvent des plats symboliques pour assurer la santé, les études, etc. Ainsi le poisson (yú), homophone de surplus (yú), doit être présent à chaque repas de Nouvel An pour garantir qu’il y aura du surplus tous les ans (niánnián yǒuyú) et qu’on ne manquera jamais de rien ; certains prennent même soin de ne pas le finir, afin de rendre plus complètement son sens symbolique. Dans le nord de la Chine, on sert en principe un plat de raviolis (jiǎozi) car leur forme évoque celle des yuánbǎo, lingots anciens. Le dessert traditionnel est le niángāo, « gâteau de l'An » ; gāo, gâteau, est homophone de grandir, et en manger constitue un gage de croissance dans tous les domaines souhaités.
Chaîne de pétards : Des enveloppes rouges contenant de l’argent sont offertes. Traditionnellement, elles étaient distribuées par les aînés aux enfants et aux jeunes non mariés, et avaient surtout la valeur symbolique de porter chance durant toute la nouvelle année. Lors des distributions solennelles par les aînés, la personne qui va recevoir l’enveloppe leur adresse un vœu ou « parole auspicieuse » (íxiáng huà) ; le plus courant est « félicitations, et faites fortune » (gōngxǐ fācái). Beaucoup d’enveloppes rouges contiennent une somme modeste, en nombre pair de billets, mais il arrive que ce soit le moyen par lequel une personne professionnellement active remet à ses parents âgés ou à ses enfants toute une année d’argent de poche. Lors des visites à la famille et aux amis dans les jours qui suivent, il est coutume d’offrir une enveloppe aux enfants des visiteurs ou des visités ; beaucoup ont donc soin de s’approvisionner en petites coupures avant la période de la fête.
Les enfants étaient autorisés ce soir-là à faire éclater des pétards ou à faire brûler des feux de bengale, en attendant la chaîne de pétards que chaque foyer se devait d’allumer à l’arrivée du premier jour de l’année (minuit au XXIe siècle, mais autrefois on changeait de jour à 11 h du soir). Néanmoins, à cause des accidents de plus en plus fréquents dus à la concentration urbaine, beaucoup de pays ont interdit les pétards privés. Des modèles électriques lumineux et sonorisés sont proposés sous le nom de « pétards électriques » (diànbīanpào), avec un succès variable.
Danse de lion : Une coutume ancienne veut qu’on aille se coucher le plus tard possible ce soir-là, car ce serait un gage de longévité ; cela s’appelle « monter la garde de l’année » (shǒusuì). Une télévision aide largement à remplir cet objectif, mais un jeu (mahjong par exemple) est aussi souvent choisi, d’autant que pour certains il est bon de tenter sa chance pendant la nuit du Nouvel An. Dans certaines régions, les jeux d’argent habituellement interdits étaient exceptionnellement autorisés pendant la fête de printemps.
Premier jour de l’année : Si les règlements locaux le permettent, une chaîne de pétards est allumée dès onze heures ou minuit. Le matin, après un court repos, beaucoup se rendent au temple local, puis sur les tombes ancestrales s’ils habitent à proximité. On considère que plus la visite au temple est précoce, plus on aura de chance dans l’année. Il arrive donc que les fidèles se massent devant les grands temples avant l’ouverture des portes pour être le premier à planter sa baguette d’encens dans le brûle-parfum. Dans certaines villes, un temple ouvre à minuit, première heure du premier jour. Certains prennent ce jour au moins un repas végétarien. Les familles qui en avaient les moyens commandaient une danse de lion ou de dragon (qui représente Noblesse, Bravoure et Chance). Dans certaines cités hors de Chine comme Paris, la diaspora chinoise organise une parade ; la tradition en a débuté à San Francisco dans la seconde moitié du XIXe siècle.
La première journée était théoriquement consacrée aux visites, en commençant par les personnes les plus importantes (parents aînés, supérieurs hiérarchiques) ; cette activité s'appelle " saluer l’année "(bàinián) ; de nos jours le téléphone est largement utilisé. Les familles en deuil sont traditionnellement exemptées de visites pendant une durée variable.
Le jour du Nouvel An, on doit théoriquement porter des vêtements neufs, et beaucoup aiment que du rouge, couleur auspicieuse, y apparaisse. On ne fait pas de ménage, et si l'on doit absolument balayer des détritus tombés à terre, il ne faut pas les déposer à l'extérieur du domicile car cela symboliserait une perte. Certains estiment qu'il est mauvais de faire une grande toilette ce jour-là.
Jours suivants : « Félicitations et faites fortune » sur le Lee Theatre Plaza, Hong Kong
Le deuxième jour est traditionnellement celui où les femmes mariées rendent visite à leur famille avec enfants et mari.
Dans certaines régions, les visites étaient déconseillées durant le troisième jour car elles étaient censées facilement donner lieu à des altercations (« bouche rouge » chìkǒu).
Le cinquième jour est en général celui où les commerces rouvrent. À Hong Kong c’est l’anniversaire du Dieu de la richesse. Des pétards sont allumés, et parfois des danses de lions commandées.
Le septième jour était pour certains celui où tout le monde changeait d’âge, les dates de naissances exactes étant autrefois tenues secrètes. D'autres, néanmoins, estiment que l’âge change le premier jour de la nouvelle année.
Le huitième ou neuvième jour — selon les régions — est l’anniversaire du dieu du Ciel (Tiāngōng) assimilé à l’Empereur de jade. Une cérémonie se déroule chez soi ou au temple tard le soir, au début de la nouvelle journée.
Le quinze du premier mois est la dernière journée de la Fête de printemps, marquée par la Fête des lanternes.
Vœux de Nouvel An : Le vœu traditionnel, particulièrement dans le nord de la Chine, est « Bon passage de l’année » (guònián hǎo) Il est souvent remplacé par « Bonne année », utilisable également le premier janvier, début officiel de l'année en Chine et à Taïwan (Xīnnián kuàilè ; cantonais : Sun nin fai lok ). Le « Félicitations, et faites fortune » mentionné plus haut peut être aussi utilisé, mais tend à être plus particulièrement lié aux distributions d’enveloppes rouges." http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_An_chinois
Quelques sites pour des informations complémentaires :
http://www.kutchuk.com/agenda/nouvelanchinois/ritesavant.htm
http://www.asiaflash.com/astrochina/annee-rat.shtml
http://www.eurasie.net/webzine/rubrique.php3?id_rubrique=35
(queqlues dates des manifestations en France)
Le 9 février à Paris, un défilé a eu lieu dans le 13ème arrondissement :
http://www.chine-informations.com/actualite/chine-photos-du-defile-du-nouvel-an-chinois-2008-a-paris_8652.html
http://www.chine-informations.com/actualite/chine-photos-du-defile-du-nouvel-an-chinois-2008-a-paris-2_8649.html
http://www.chine-informations.com/actualite/chine-photos-du-defile-du-nouvel-an-chinois-2008-a-paris-3_8650.html
Défilé du Nouvel An Chinois à Paris par Bondy_Blog
17 milliards de sms envoyés pendant les vacances du nouvel an chinois !!!
L'effet "année du rat" fait flamber le prix du hamster en Chine, de 5 Yuans (0,50 €) à 30 Yuans (3 €) !
http://www.aujourdhuilachine.com/
Le Nouvel An Chinois en Thaïlande, discret (le décès le 2 janvier de Son Altesse la Princesse Galyani Vadhana, sœur ainée du Roi Bhumibol Adulyadej, les autorités ont demandé aux institutions publiques et privées, ainsi qu’aux particuliers, de modérer les manifestations de liesse ostentatoires) :
http://www.monasie.com/2008/02/nouvel-chinois-la-maison.html
http://www.lepetitjournal.com/content/view/23357/1013/
Le Nouvel An Chinois en Polynésie Française :
http://familletouvron.over-blog.net/article-16461603-6.html
http://www.fenua-tahiti.com/categorie-10312377.html pages 1 et 2.
02 février 2008
5 Mars 2008 : Mardi Gras
"En italien, Mardi gras se dit Carnevale, mot qui vient de "carne levare" (littéralement "retirer la viande"), allusion aux jours maigres qui vont suivre.
Le Carnaval, comme beaucoup de fêtes chrétiennes, a une origine païenne. Il remonte aux fêtes romaines des calendes de mars, qui célébraient le réveil de la nature par des rites agraires. A cette occasion, les interdits étaient transgressés et les déguisements autorisés.
Dans le calendrier chrétien, Mardi gras est le jour qui précède le Carême, période de jeûne de 40 jours entre le mercredi des Cendres (symbolisant le retour biblique d'Adam à la poussière) et le jour de Pâques (résurrection du Christ). Avant cette période de privation, il était de coutume de faire la fête et de manger "gras". Le Carnaval était représenté par un mannequin grotesque que l'on brûlait le mercredi des Cendres, premier jour du Carême.
Le Carnaval s'étend théoriquement de l'Epiphanie au mercredi des Cendres, mais il atteignait jadis sont paroxysme lors du repas du Mardi gras, marqué par une abondance de viandes et de pâtisseries. Comme la fête rassemblait un grand nombre de personne, il fallait confectionner des pâtisseries bon marché et vite préparées. Il s'agissait aussi d'utiliser les réserves de beurre, huile et oeufs, avant les 40 jours de jeûne qui allaient suivre. D'où la tradition des beignets, des gaufres, des crêpes et autres déclinaisons régionales : merveilles du Sud, bottereaux d'Anjou, bugnes du Lyonnais…
Aujourd'hui, Mardi gras est fêté de différentes façons dans le monde entier, il est précédé de nombreux carnavals dont les plus connus sont ceux de Venise (instauré au XVème siècle avec l'accord du pape) et de Rio de Janeiro (fête introduite par les Portugais, qui deviendra le grand bal que l'on connaît au milieu du XXème siècle)."
Saveurs Lyonnaises : Les Bugnes Lyonnaises
Le Carnaval, comme beaucoup de fêtes chrétiennes, a une origine païenne. Il remonte aux fêtes romaines des calendes de mars, qui célébraient le réveil de la nature par des rites agraires. A cette occasion, les interdits étaient transgressés et les déguisements autorisés.
Dans le calendrier chrétien, Mardi gras est le jour qui précède le Carême, période de jeûne de 40 jours entre le mercredi des Cendres (symbolisant le retour biblique d'Adam à la poussière) et le jour de Pâques (résurrection du Christ). Avant cette période de privation, il était de coutume de faire la fête et de manger "gras". Le Carnaval était représenté par un mannequin grotesque que l'on brûlait le mercredi des Cendres, premier jour du Carême.
Le Carnaval s'étend théoriquement de l'Epiphanie au mercredi des Cendres, mais il atteignait jadis sont paroxysme lors du repas du Mardi gras, marqué par une abondance de viandes et de pâtisseries. Comme la fête rassemblait un grand nombre de personne, il fallait confectionner des pâtisseries bon marché et vite préparées. Il s'agissait aussi d'utiliser les réserves de beurre, huile et oeufs, avant les 40 jours de jeûne qui allaient suivre. D'où la tradition des beignets, des gaufres, des crêpes et autres déclinaisons régionales : merveilles du Sud, bottereaux d'Anjou, bugnes du Lyonnais…
Aujourd'hui, Mardi gras est fêté de différentes façons dans le monde entier, il est précédé de nombreux carnavals dont les plus connus sont ceux de Venise (instauré au XVème siècle avec l'accord du pape) et de Rio de Janeiro (fête introduite par les Portugais, qui deviendra le grand bal que l'on connaît au milieu du XXème siècle)."
Les dates du Mardi Gras jusqu'en 2035 : http://www.lexilogos.com/fetes_date.htm
Après les crêpes, voici venir le temps des Gaufres, Beignets et autres Merveilles, Oreillettes et Bugnes.
Saveurs Lyonnaises : Les Bugnes Lyonnaises
Ingrédients :
500g de farine 1/2 paquet de levure 100g de sucre 4g de sel une pincée de vanille en poudre 100g de beurre 4 gros oeufs sucre glace
Préparation :
Meler la farine, la levure, le sucre, le sel et la vanille, puis le beurre ramolli coupé en petits morceaux. Ajouter les oeufs battus préalablement, mélanger du bout des doigts puis pétrir jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène.
Mettre en boule, couvrir, laisser reposer une heure.
Etendre la pâte au rouleau assez finement, tailler des bandes puis former des losanges. Au centre de chaque losange, faire une petite incision, puis passer une extrémité du losange pour donner un effet tressé.
Plonger les bugnes dans l'huile bouillante, les retourner lorsqu'elles commencent à dorer.
Les retirer puis les laisser égoutter sur du papier absorbant.
Saupoudrer de sucre glace.
La taille des oeufs est importante afin de ne pas obtenir des bugnes trop sèches... S'ils sont trop petits, ne pas hesiter à rajouter un oeuf (le poid total des oeufs doit être environ de 120g).
Saveurs du Monde : Beignets aux pommes à la vanille de bourbon
Ingrédients :
300 g de farine 100 g de sucre 1 verre de lait 1 cuillère à café de levure 1 gousse de vanille 2 oeufs 2 pommes 1/2 litre d'huile
Préparation :
Mettre la farine dans un bol, puis ajouter au centre : le sucre, le lait, les oeufs; et finir par la levure et l'intérieur de la gousse de vanille.
Mélanger pour obtenir une pâte homogène.
Couper les pommes en rondelles (ou en demi-lunes).
Faire chauffer l'huile dans une casserole.
Tremper les pommes dans la pâte, puis les plonger quelques minutes dans l'huile chaude.
Servir aussitôt.
Saveurs de France : Pets de nonne
Ces petits beignets de pâte à choux se présentent comme des boulettes bien gonflées et dorées, poudrées de sucre glace. C'est notamment une spécialité de la ville de Beaume-les-Dames, où les religieuses ont longtemps entretenu une tradition de confiserie et de pâtisserie. Outre les pets-de-nonne, on attribue aux chanoinesses de la ville la création de gaufres, de craquelins et d'exquises pâtes de coing.
Préparation : 25 mn Cuisson : 5 mn par bain
Ingrédients (pour 4 personnes) :
150 g farine 3 oeufs 50 g beurre 40 g sucre parfum (rhum, fleur d'oranger) 1 pincée de sel friture (huile tournesol ou arachide)
Préparation :
Mettre 1/4 l d'eau à chauffer avec le beurre, le sel, le sucre, quand çà bout retirer du feu, ajouter d'un seul coup la farine, mélanger énergiquement.
Remettre sur le feu, mélanger jusqu'à ce que la pâte se détache du fond de la casserole.
Hors du feu ajouter les oeufs, un par un en battant fortement puis ajouter le parfum.
Faire chauffer la friture, y mettre la pâte par morceaux gros comme des noix.
Retournez les pets s'ils ne le font pas d'eux mêmes.
Lorsqu'ils sont dorés, les égoutter, les saupoudrer de sucre et servir.
Préparation : 15 min Cuisson : 1 h
Ingrédients (pour environ 20 gaufres) :
250 g de farine 4 oeufs 125 g de beurre très mou + beurre pour le gaufrier 40 cl de crème fraîche liquide 100 g de sucre 2 sachets de sucre vanillé 1 cuillère à soupe d'eau de fleur d'oranger 1 pincée de sel
Préparation :
Travaillez le beurre avec le sucre et le sucre vanillé jusqu'à l'obtention d'une masse crémeuse. Séparez les jaunes d'oeufs des blancs.
Incorporez petit à petit lesjaunes des oeufs (conservez les blancs) puis la crème, la farine tamisée et l'eau de fleur d'oranger.
Montez les blancs d'oeufs en neige avec le sel.
Incorporez-les délicatement à la pâte.
Préchauffez le gaufrier selon le mode d'emploi.
Badigeonnez-le de beurre, déposez 2 cuillerées à soupe de pâte au centre et faites cuire jusqu'à ce que la gaufre soit dorée.
Servez aussitôt avec du sucre, de la cannelle, de la compote de fruits rouges ou de la crème fouettée, selon votre goût.
2 Février : La Chandeleur
40 jours après Noël a lieu la Chandeleur :
"La Chandeleur, autrefois "Chandeleuse", se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot "chandelle".
A l’origine, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. En 472, le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention à le garder allumé.
Un dicton de Franche-Comté dit d’ailleurs :
Celui qui la rapporte chez lui allumée
Pour sûr ne mourra pas dans l’année.
Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des œufs à couver en assurent une bonne éclosion. Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.
Entre temps, une autre tradition a vu le jour : celle des crêpes. Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la chandeleur, le blé serait carié pour l’année. On dit d’ailleurs :
Si point ne veut de blé charbonneux
Mange des crêpes à la Chandeleur
D’ailleurs, en faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d’or. En effet, les paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d’or dans la main gauche. Ensuite, la pièce d’or était enroulée dans la crêpe avant d’être portée en procession par toute la famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l’armoire jusqu’à l’année suivante. On récupérait alors les débris de la crêpe de l’an passé pour donner la pièce d’or au premier pauvre venu. Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d’avoir de l’argent toute l’année.
Celui qui retourne sa crêpe avec adresse, qui ne la laisse pas tomber à terre ou qui ne la rattrape pas sous la forme navrante de quelque linge fripé, celui-là aura du bonheur jusqu'à la Chandeleur prochaine
Aujourd’hui, les processions aux chandelles et autres rites n’existent plus mais on a conservé la tradition des crêpes et les commerçants participent en offrant, dès la fin du mois de janvier, qui un pot de confiture pour l’achat d’une crêpière, qui une crêpière pour l’achat d’un paquet de farine ‘spécial crêpes’.
Enfin, n’oublions pas les croyances liées à la météo. En de nombreux pays, on croît que le jour de la Chandeleur, un ours sort de sa tanière. Si la température est douce et qu’il voit le soleil, il retourne vite reprendre son hibernage, car il sait que le beau temps ne durera pas. Un proverbe dans le Calendrier des bons laboureurs en 1628 disait :
Si fait beau et luit Chandeleur
Six semaines se cache l'ours
Un autre proverbe français dit :
Si le deuxième de février
Le soleil apparaît entier
L'ours étonné de sa lumière
Se va mettre en sa tanière
Et l'homme ménager prend soin
De faire resserrer son foin
Car l'hiver tout ainsi que l'ours
Séjourne encore quarante jours
Dans le Gard :
Quand le soleil, à la Chandeleur, dit lanterne
Quarante jours après il hiverne
Dans le Nord :
Quand Notre-Dame de la Chandeleur luit
L'hiver de quarante jours s'ensuit
Dans les Hautes Pyrénnées :
Lorsqu'à la Chandeleur le temps persiste au beau
Berger serre ton foin, fais paître ton troupeau
Dans le Vivarais :
Quand pour la Chandeleur le soleil est brillant
Il fait plus froid après qu'avant
Au Pays Basque :
À la Chandeleur verdure
À Pâques neige forte et dure
En Bretagne :
A la chandeleurIl fait jour à 6 heures
A chaque travailleur
Sauf au tailleur
Et au fainéant
Dans d'autres pays c'est la marmotte qui sort. Si elle voit son ombre, cela signifie qu'il y a du soleil, alors elle retourne vite continuer à hiberner car elle sait que l'hiver va encore durer. En effet :
Soleil de la Chandeleur
Annonce hiver et malheur"
D'autres traditions gourmandes en France, Espagne et Mexique :
http://www.saveursdumonde.net/noel/chandeleur.htm
Crêpes roses à la framboise et aux macarons :
Pâte à crêpes :
10 cl de crème fraîche liquide uht 1 cuil. à soupe d'eau de rose 1 cuil. à café d'huile 20 cl de lait Quelques gouttes de colorant alimentaire rouge 120 g de farine fluide Francine 1 pincée de sel 1 cuil. à café de sucre en poudre 2 œufs 30 g de beurre fondu
Garniture :
50 cl de lait 2 œufs 60 g de sucre 60 g de farine fluide Francine 32 framboises 12 macarons à la framboise
Temps de préparation : 20 min
Ingrédients pour 6 personnes
Une heure avant, versez dans un saladier la crème, l'eau de rose, l'huile, et le lait. Fouettez l'ensemble. Ajoutez quelques gouttes de colorant alimentaire pour obtenir une jolie couleur rose.
Dans un saladier, mélangez la farine, le sel et le sucre, puis creusez un puits. Ajoutez les oeufs battus et le contenu du premier saladier petit à petit. Mélangez bien.
Dans une poêle posée sur feu vif, versez un peu de beurre fondu, puis une louche de pâte qui va en recouvrir le fond.Laissez la crêpe cuire 2 ou 3 min, puis retournez-la et faites-la cuire autant de l'autre côté. Réalisez vos autres crêpes de la même manière.
Versez le lait dans une casserole et portez-le à ébullition. Pendant ce temps, mélangez les œufs et le sucre dans un saladier pendant 2 min. à l'aide d'un fouet. Versez la farine et mélangez encore jusqu'à obtenir un mélange homogène. Versez alors le lait dans le saladier, sans cesser de mélanger. Remettez le mélange dans la casserole et laissez épaissir à feu moyen, sans cesser de tourner, ce qui prendra 5 min. Retirez du feu et laissez refroidir.
Garnissez vos crêpes de ce mélange, ajoutez quelques framboises fraîches et des macarons émiettés. Roulez vos crêpes et dégustez-les sans attendre.
Réussir sa pâte à crêpe en vidéo :
Saveurs d'Autriche : Crêpes de l'empereur - Kaiserschmarrn
Ingrédients
125 ml de lait 1 cuillerée à soupe de crème sûre (donne une pâte plus légère) 4-5 oeufs 4 cuillerées à soupe de sucre 125 g de farine Sel Raisins trempés dans le rhum beurre sucre glace
Temps de préparation : 15 minutes
Dans un bol, mélanger le lait, la crème sûre, les jaunes d'oeufs, le sucre et la farine; ajouter une pincée de sel et les raisins;
Monter les blancs d'oeufs en neige; incorporer doucement à la préparation.
Dans une grande poêle, faire fondre le beurre; dès qu'il commence à blanchir, verser la préparation; faire cuire comme une grande crêpe jusqu'à ce qu'elle soit bien dorée et retourner.
Cuire encore 1 minute; briser alors la "crêpe" en morceaux à l'aide de deux fourchettes tout en continuant la cuisson.
Saupoudrer de sucre glace et servir aussitôt avec de la confiture de prune.
Saveurs de France : Crêpes de Vonnas (Georges Blanc, Restaurant Georges Blanc, France)
Ingrédients pour 8 personnes :
500 g de pommes de terre (à chair blanche) 3 cuillerées à soupe de farine 3 oeufs entiers 4 blanc d’oeufs 2 cuillerées à soupe de crème fraîche 400 g de beurre clarifié 10 g de sel 50 ml de lait
Temps de préparation : 20 minutes Temps de cuisson: 20 + 5 minutes
Préparation du beurre clarifé
Couper le beurre en petits morceaux; les mettre dans une casserole au bain-marie et laisser fondre sur feu doux sans jamais remuer : le petit-lait va ainsi se déposer au fond de la casserole et les impuretés remonter en surface.
Enlever la casserole du bain-marie dès que le beurre est fondu. Retirer délicatement le dépôt blanchâtre à l’aide d’une petite écumoire. Prélever le beurre et jeter le petit-lait restant au fond.
Préparation des crêpes
Peler les pommes de terre. Les faire cuire à l’eau bouillante salée. Egoutter et écraser en purée au moulin à légumes en les arrosant de lait. Laisser refroidir la purée. Tamiser la farine. La mélanger dans la purée refroidie et incorporer un par un les oeufs entiers en mélangeant bien à chaque fois. Ajouter ensuite les blancs d’oeufs non battus. Mélanger bien.
Incorporer une par une les cuillerées de crème fraîche sans trop remuer la pâte qui doit avoir la consistance d’une crème pâtissière chaude. Cuisson des crêpes Mettre à chauffer 4 cuillerées à soupe de beurre clarifié dans une large poêle, sur feu vif.
Verser de petites cuillerées à soupe de pâte dans le beurre très chaud : les ronds se forment tout seuls. Selon la taille de la poêle, vous pouvez cuire de 4 à 6 crêpes; laisser dorer et retourner de l’autre côté.
Égoutter les crêpes au fur et à mesure sur du papier absorbant puis les déposer dans un plat de service chaud. Garder au chaud jusqu’au moment de les déguster.
Semblables à des beignets très légers, ces crêpes de la mère Blanc, cuites au beurre clarifié, accompagnent bien une viande ou une volaille mais peuvent aussi, saupoudrées de sucre ou de cassonade, devenir un délicieux dessert fondant.
D'autres crêpes du monde entier : http://www.saveursdumonde.net/?action=recherche&lg=fr&action_do=1&search_for=cr%EApe
"La Chandeleur, autrefois "Chandeleuse", se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot "chandelle".
A l’origine, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. En 472, le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention à le garder allumé.
Un dicton de Franche-Comté dit d’ailleurs :
Celui qui la rapporte chez lui allumée
Pour sûr ne mourra pas dans l’année.
Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des œufs à couver en assurent une bonne éclosion. Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.
Entre temps, une autre tradition a vu le jour : celle des crêpes. Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la chandeleur, le blé serait carié pour l’année. On dit d’ailleurs :
Si point ne veut de blé charbonneux
Mange des crêpes à la Chandeleur
D’ailleurs, en faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d’or. En effet, les paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d’or dans la main gauche. Ensuite, la pièce d’or était enroulée dans la crêpe avant d’être portée en procession par toute la famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l’armoire jusqu’à l’année suivante. On récupérait alors les débris de la crêpe de l’an passé pour donner la pièce d’or au premier pauvre venu. Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d’avoir de l’argent toute l’année.
Celui qui retourne sa crêpe avec adresse, qui ne la laisse pas tomber à terre ou qui ne la rattrape pas sous la forme navrante de quelque linge fripé, celui-là aura du bonheur jusqu'à la Chandeleur prochaine
Aujourd’hui, les processions aux chandelles et autres rites n’existent plus mais on a conservé la tradition des crêpes et les commerçants participent en offrant, dès la fin du mois de janvier, qui un pot de confiture pour l’achat d’une crêpière, qui une crêpière pour l’achat d’un paquet de farine ‘spécial crêpes’.
Enfin, n’oublions pas les croyances liées à la météo. En de nombreux pays, on croît que le jour de la Chandeleur, un ours sort de sa tanière. Si la température est douce et qu’il voit le soleil, il retourne vite reprendre son hibernage, car il sait que le beau temps ne durera pas. Un proverbe dans le Calendrier des bons laboureurs en 1628 disait :
Si fait beau et luit Chandeleur
Six semaines se cache l'ours
Un autre proverbe français dit :
Si le deuxième de février
Le soleil apparaît entier
L'ours étonné de sa lumière
Se va mettre en sa tanière
Et l'homme ménager prend soin
De faire resserrer son foin
Car l'hiver tout ainsi que l'ours
Séjourne encore quarante jours
Dans le Gard :
Quand le soleil, à la Chandeleur, dit lanterne
Quarante jours après il hiverne
Dans le Nord :
Quand Notre-Dame de la Chandeleur luit
L'hiver de quarante jours s'ensuit
Dans les Hautes Pyrénnées :
Lorsqu'à la Chandeleur le temps persiste au beau
Berger serre ton foin, fais paître ton troupeau
Dans le Vivarais :
Quand pour la Chandeleur le soleil est brillant
Il fait plus froid après qu'avant
Au Pays Basque :
À la Chandeleur verdure
À Pâques neige forte et dure
En Bretagne :
A la chandeleurIl fait jour à 6 heures
A chaque travailleur
Sauf au tailleur
Et au fainéant
Dans d'autres pays c'est la marmotte qui sort. Si elle voit son ombre, cela signifie qu'il y a du soleil, alors elle retourne vite continuer à hiberner car elle sait que l'hiver va encore durer. En effet :
Soleil de la Chandeleur
Annonce hiver et malheur"
D'autres traditions gourmandes en France, Espagne et Mexique :
http://www.saveursdumonde.net/noel/chandeleur.htm
Crêpes roses à la framboise et aux macarons :
Pâte à crêpes :
10 cl de crème fraîche liquide uht 1 cuil. à soupe d'eau de rose 1 cuil. à café d'huile 20 cl de lait Quelques gouttes de colorant alimentaire rouge 120 g de farine fluide Francine 1 pincée de sel 1 cuil. à café de sucre en poudre 2 œufs 30 g de beurre fondu
Garniture :
50 cl de lait 2 œufs 60 g de sucre 60 g de farine fluide Francine 32 framboises 12 macarons à la framboise
Temps de préparation : 20 min
Ingrédients pour 6 personnes
Une heure avant, versez dans un saladier la crème, l'eau de rose, l'huile, et le lait. Fouettez l'ensemble. Ajoutez quelques gouttes de colorant alimentaire pour obtenir une jolie couleur rose.
Dans un saladier, mélangez la farine, le sel et le sucre, puis creusez un puits. Ajoutez les oeufs battus et le contenu du premier saladier petit à petit. Mélangez bien.
Dans une poêle posée sur feu vif, versez un peu de beurre fondu, puis une louche de pâte qui va en recouvrir le fond.Laissez la crêpe cuire 2 ou 3 min, puis retournez-la et faites-la cuire autant de l'autre côté. Réalisez vos autres crêpes de la même manière.
Versez le lait dans une casserole et portez-le à ébullition. Pendant ce temps, mélangez les œufs et le sucre dans un saladier pendant 2 min. à l'aide d'un fouet. Versez la farine et mélangez encore jusqu'à obtenir un mélange homogène. Versez alors le lait dans le saladier, sans cesser de mélanger. Remettez le mélange dans la casserole et laissez épaissir à feu moyen, sans cesser de tourner, ce qui prendra 5 min. Retirez du feu et laissez refroidir.
Garnissez vos crêpes de ce mélange, ajoutez quelques framboises fraîches et des macarons émiettés. Roulez vos crêpes et dégustez-les sans attendre.
Réussir sa pâte à crêpe en vidéo :
Saveurs d'Autriche : Crêpes de l'empereur - Kaiserschmarrn
Ingrédients
125 ml de lait 1 cuillerée à soupe de crème sûre (donne une pâte plus légère) 4-5 oeufs 4 cuillerées à soupe de sucre 125 g de farine Sel Raisins trempés dans le rhum beurre sucre glace
Temps de préparation : 15 minutes
Dans un bol, mélanger le lait, la crème sûre, les jaunes d'oeufs, le sucre et la farine; ajouter une pincée de sel et les raisins;
Monter les blancs d'oeufs en neige; incorporer doucement à la préparation.
Dans une grande poêle, faire fondre le beurre; dès qu'il commence à blanchir, verser la préparation; faire cuire comme une grande crêpe jusqu'à ce qu'elle soit bien dorée et retourner.
Cuire encore 1 minute; briser alors la "crêpe" en morceaux à l'aide de deux fourchettes tout en continuant la cuisson.
Saupoudrer de sucre glace et servir aussitôt avec de la confiture de prune.
Saveurs de France : Crêpes de Vonnas (Georges Blanc, Restaurant Georges Blanc, France)
Ingrédients pour 8 personnes :
500 g de pommes de terre (à chair blanche) 3 cuillerées à soupe de farine 3 oeufs entiers 4 blanc d’oeufs 2 cuillerées à soupe de crème fraîche 400 g de beurre clarifié 10 g de sel 50 ml de lait
Temps de préparation : 20 minutes Temps de cuisson: 20 + 5 minutes
Préparation du beurre clarifé
Couper le beurre en petits morceaux; les mettre dans une casserole au bain-marie et laisser fondre sur feu doux sans jamais remuer : le petit-lait va ainsi se déposer au fond de la casserole et les impuretés remonter en surface.
Enlever la casserole du bain-marie dès que le beurre est fondu. Retirer délicatement le dépôt blanchâtre à l’aide d’une petite écumoire. Prélever le beurre et jeter le petit-lait restant au fond.
Préparation des crêpes
Peler les pommes de terre. Les faire cuire à l’eau bouillante salée. Egoutter et écraser en purée au moulin à légumes en les arrosant de lait. Laisser refroidir la purée. Tamiser la farine. La mélanger dans la purée refroidie et incorporer un par un les oeufs entiers en mélangeant bien à chaque fois. Ajouter ensuite les blancs d’oeufs non battus. Mélanger bien.
Incorporer une par une les cuillerées de crème fraîche sans trop remuer la pâte qui doit avoir la consistance d’une crème pâtissière chaude. Cuisson des crêpes Mettre à chauffer 4 cuillerées à soupe de beurre clarifié dans une large poêle, sur feu vif.
Verser de petites cuillerées à soupe de pâte dans le beurre très chaud : les ronds se forment tout seuls. Selon la taille de la poêle, vous pouvez cuire de 4 à 6 crêpes; laisser dorer et retourner de l’autre côté.
Égoutter les crêpes au fur et à mesure sur du papier absorbant puis les déposer dans un plat de service chaud. Garder au chaud jusqu’au moment de les déguster.
Semblables à des beignets très légers, ces crêpes de la mère Blanc, cuites au beurre clarifié, accompagnent bien une viande ou une volaille mais peuvent aussi, saupoudrées de sucre ou de cassonade, devenir un délicieux dessert fondant.
D'autres crêpes du monde entier : http://www.saveursdumonde.net/?action=recherche&lg=fr&action_do=1&search_for=cr%EApe
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