Neil Armstrong, le premier homme sur la Lune, est mort à l'âge de 82 ans - francetv info
http://fr.wikipedia.org/wiki/Neil_Armstrong
Qui êtes-vous ?
25 août 2012
20 août 2012
Scott McKenzie, interprète de «San Francisco», est mort - 20minutes.fr
Scott McKenzie, interprète de «San Francisco», est mort - 20minutes.fr
Le chanteur Scott McKenzie dans les années 2000. CAPTURE D'ECRAN/20MINUTES.FR
Le chanteur Scott McKenzie dans les années 2000. CAPTURE D'ECRAN/20MINUTES.FR
18 août 2012
Henri Greder n'est plus
Henri Greder n'est plus:
Le sport automobile est de nouveau en deuil. L’ancien pilote français Henri Greder est décédé il y a quelques jours à l'âge de 81 ans, à Tournai (Belgique).
Le sport automobile est de nouveau en deuil. L’ancien pilote français Henri Greder est décédé il y a quelques jours à l'âge de 81 ans, à Tournai (Belgique).
Pikes Peak 2012 : C’est passé ! (vidéos)
Pikes Peak 2012 : C’est passé ! (vidéos):
Retour sur la mythique course américaine qui aura fait plus parler d’elle pour des raisons autres que celles liées aux résultats de la course. La première critique et elle est essentielle vient du goudronnage général de la fameuse route qui dénature l’esprit de la course, favorise une augmentation des vitesses de passage mais aussi hélas du nombre d’accidents qui ont été nombreux cette année et qui pour certains aurait pu se finir très mal pour les pilotes.
C’est donc Rhys Millen qui emporte la course 2012 en battant le record détenu par Nobuhiro Tajima mais cela était couru d’avance puisque le revêtement n’était pas le même et l’enrobé du départ à l’arrivée permet de gagner de précieuses secondes. Jean Philippe Dayraut a du abandonner à quelques encablures de l’arrivée car les freins de son Duster avaient passé l’arme à gauche causant une sortie de route (le problème des freins et du grip des pneus a d’ailleurs été souligné par tous ou presque comme un facteur de risque important). Romain Dumas termine second pour quelques millièmes. Monster Tajima a du abandonner avec son prototype électrique qui a eu un coup de chaud et a commencé à brûler, accident pour le prototype i-MiEV et pas grand chose à noter dans la classe VE si ce n’est la victoire de Toyota avec un prototype déjà bien rôdé que nous avons pu voir tourner sur le Ring. Une chose est sure, Pikes Peak pourrait bien perdre de son intérêt et de sa notoriété si rien n’est fait en matière de sécurité (à cause de la nette augmentation de la vitesse sur le seconde moitié du tracé) et si les organisateurs ne font pas un effort pour redonner un peu d’attrait à la course qui risque bien de n’être plus qu’une course de côte parmi d’autres ! Les critiques sont bien trop nombreuses pour ne rien faire dans les mois à venir.
Pour un petit retour vidéo sur Pikes Peak 2012, c’est par là :
Les voitures électriques :
L’accident de Jeremy Foley (in & out) :
L’accident de Paul Dallenbach :
Via Youtube.
Source : Blog Automobile Billet : Pikes Peak 2012 : C’est passé ! (vidéos)
Retour sur la mythique course américaine qui aura fait plus parler d’elle pour des raisons autres que celles liées aux résultats de la course. La première critique et elle est essentielle vient du goudronnage général de la fameuse route qui dénature l’esprit de la course, favorise une augmentation des vitesses de passage mais aussi hélas du nombre d’accidents qui ont été nombreux cette année et qui pour certains aurait pu se finir très mal pour les pilotes.
C’est donc Rhys Millen qui emporte la course 2012 en battant le record détenu par Nobuhiro Tajima mais cela était couru d’avance puisque le revêtement n’était pas le même et l’enrobé du départ à l’arrivée permet de gagner de précieuses secondes. Jean Philippe Dayraut a du abandonner à quelques encablures de l’arrivée car les freins de son Duster avaient passé l’arme à gauche causant une sortie de route (le problème des freins et du grip des pneus a d’ailleurs été souligné par tous ou presque comme un facteur de risque important). Romain Dumas termine second pour quelques millièmes. Monster Tajima a du abandonner avec son prototype électrique qui a eu un coup de chaud et a commencé à brûler, accident pour le prototype i-MiEV et pas grand chose à noter dans la classe VE si ce n’est la victoire de Toyota avec un prototype déjà bien rôdé que nous avons pu voir tourner sur le Ring. Une chose est sure, Pikes Peak pourrait bien perdre de son intérêt et de sa notoriété si rien n’est fait en matière de sécurité (à cause de la nette augmentation de la vitesse sur le seconde moitié du tracé) et si les organisateurs ne font pas un effort pour redonner un peu d’attrait à la course qui risque bien de n’être plus qu’une course de côte parmi d’autres ! Les critiques sont bien trop nombreuses pour ne rien faire dans les mois à venir.
Pour un petit retour vidéo sur Pikes Peak 2012, c’est par là :
Les voitures électriques :
L’accident de Jeremy Foley (in & out) :
L’accident de Paul Dallenbach :
Via Youtube.
Source : Blog Automobile Billet : Pikes Peak 2012 : C’est passé ! (vidéos)
Official: McLaren X-1 Concept created as one-off for anonymous client
Official: McLaren X-1 Concept created as one-off for anonymous client:
Filed under: Concept Cars, Coupe, Performance, Misc. Auto Shows, Specialty, Design/Style, Luxury
The first major surprise of Pebble Beach weekend in Monterey has officially landed.
The machine you see above is the McLaren X-1 Concept, and it was created by McLaren Special Operations for an anonymous client. Underneath that crazy slice of bodywork lies the British company's unique carbon monocell - the same basic structure that underpins the MP4-12C. MSO Programme Director Paul MacKenzie describes how it came to be:
The initial design, after a competition was held between McLaren's own designers and a selected few from outside the automotive world, came from McLaren's Korean-born RCA graduate Hong Yeo. It took two and a half years to complete once the design was finalized, and the company says everything from the lights to the wheels were created specifically for this project.
Most of the carbon fiber bodywork has been painted piano black, though some of the panels let the natural carbon weave shine through, and all the brightwork - including the so-called McLaren Airbrake rear wing - was hewn from solid aluminum and nickel plated. The interior is finished in Harissa Red Nappa leather.
We highly suggest you have a closer look at the McLaren X-1 in our high-res image gallery above, and you can bet we'll have live shots of this stunner in short order. If nothing else, one thing is perfectly clear: Ferrari has some real competition in McLaren when it comes to building bespoke supercars for wealthy clients. Scroll down below for the official press release.
Continue reading McLaren X-1 Concept created as one-off for anonymous client
Filed under: Concept Cars, Coupe, Performance, Misc. Auto Shows, Specialty, Design/Style, Luxury
The first major surprise of Pebble Beach weekend in Monterey has officially landed.
The machine you see above is the McLaren X-1 Concept, and it was created by McLaren Special Operations for an anonymous client. Underneath that crazy slice of bodywork lies the British company's unique carbon monocell - the same basic structure that underpins the MP4-12C. MSO Programme Director Paul MacKenzie describes how it came to be:
"One of our clients who already owned a McLaren F1, a Mercedes-Benz SLR McLaren and now a 12C, wanted a unique car. The conversation began with our Executive Chairman Ron Dennis almost three years ago − before the 12C was even launched. The client wanted a machine that had all the capability of the 12C but wrapped in a unique body that reflected his needs and personality."We're not sure that we'd use words like 'timeless and classical elegance' to describe the X-1 (at least without seeing it in person), which is what the client had been yearning for, but the result is nothing if not striking and memorable. Design Director Frank Stephenson used cars such as the 1961 Facel Vega, 1953 Chrysler D'Elegance Ghia, 1959 Buick Electra, 1939 Mercedes-Benz 540K and 1971 Citroën SM for inspiration.
The initial design, after a competition was held between McLaren's own designers and a selected few from outside the automotive world, came from McLaren's Korean-born RCA graduate Hong Yeo. It took two and a half years to complete once the design was finalized, and the company says everything from the lights to the wheels were created specifically for this project.
Most of the carbon fiber bodywork has been painted piano black, though some of the panels let the natural carbon weave shine through, and all the brightwork - including the so-called McLaren Airbrake rear wing - was hewn from solid aluminum and nickel plated. The interior is finished in Harissa Red Nappa leather.
We highly suggest you have a closer look at the McLaren X-1 in our high-res image gallery above, and you can bet we'll have live shots of this stunner in short order. If nothing else, one thing is perfectly clear: Ferrari has some real competition in McLaren when it comes to building bespoke supercars for wealthy clients. Scroll down below for the official press release.
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McLaren X-1 Concept created as one-off for anonymous client originally appeared on Autoblog on Fri, 17 Aug 2012 11:58:00 EST. Please see our terms for use of feeds.
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Monterey: 2012 Concorso Italiano celebrates Lamborghini, Fiat, Bertone
Monterey: 2012 Concorso Italiano celebrates Lamborghini, Fiat, Bertone:
Filed under: Concept Cars, Europe, Celebrities, Design/Style
Shelby isn't the only company celebrating a major anniversary in Monterey this year. Lamborghini marked its 50th year in business, and the 2012 Concorso Italiano is packed with Raging Bulls from every era of company's history. While the show serves as a showcase for all Italian makes, the Laguna Seca Golf Ranch always sees a wide cross section of manufacturers and models from around the globe.
This year, Fiat showed off the new 500T as part of the brand's 55th anniversary, and the show grounds were filled with a rash of classic Fiat models. Those included one very gorgeous Cinquenento Abarth, as well as a few examples of the new 500.
Finally, Bertone is celebrating its 100th anniversary in 2012, and the Concorso Italiano featured plenty of concepts and production models by the design firm. Even the Nuccio Concept showed up on the green in all of its 80s futuristic splendor. As you may recall, the last time we saw that machine, it was lounging under the lights of the Geneva Motor Show. Check out the full gallery above.
Filed under: Concept Cars, Europe, Celebrities, Design/Style
Shelby isn't the only company celebrating a major anniversary in Monterey this year. Lamborghini marked its 50th year in business, and the 2012 Concorso Italiano is packed with Raging Bulls from every era of company's history. While the show serves as a showcase for all Italian makes, the Laguna Seca Golf Ranch always sees a wide cross section of manufacturers and models from around the globe.
This year, Fiat showed off the new 500T as part of the brand's 55th anniversary, and the show grounds were filled with a rash of classic Fiat models. Those included one very gorgeous Cinquenento Abarth, as well as a few examples of the new 500.
Finally, Bertone is celebrating its 100th anniversary in 2012, and the Concorso Italiano featured plenty of concepts and production models by the design firm. Even the Nuccio Concept showed up on the green in all of its 80s futuristic splendor. As you may recall, the last time we saw that machine, it was lounging under the lights of the Geneva Motor Show. Check out the full gallery above.
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Official: Rolls-Royce debuts Phantom Coupe Aviator Collection at Pebble Beach
Official: Rolls-Royce debuts Phantom Coupe Aviator Collection at Pebble Beach:
Filed under: Coupe, Rolls-Royce, Design/Style, Luxury
As if its cars aren't already exclusive enough on their own merit, Rolls-Royce is debuting an ultra-limited production version of the Phantom Coupe at Pebble Beach today. With only 35 cars expected to be built, the Rolls-Royce Phantom Coupe Aviator Collection celebrates Charles Stewart Rolls - Rolls-Royce co-founder - who had a passion for flying and was only the second man in Britain to have a pilot's license before his death in 1910.
Unique elements of the Phantom Coupe Aviator Collection include the Aviator Grey exterior hue accented with a matte finish on the grille, hood and window frame. Setting the aeronautical theme of the car, the interior is fitted with exclusive features like the matte-black instrument gauges, an aviation-grade clock in the middle of the dash and a lower dash veneer that mimics the look of an old wooden airplane propeller. Even the transmission tunnel boasts an anodized aluminum cover with exposed torx-head bolts which attempts to match the fuselage of Rolls' award-winning (and Rolls-Royce-powered) Supermarine S6B aircraft.
No detail was overlooked in creating a truly unique atmosphere for the Aviator Collection so much so that it has a leather-lined glove box with the following quote from Rolls himself embossed into it:
Scroll down to read the press release.
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Filed under: Coupe, Rolls-Royce, Design/Style, Luxury
As if its cars aren't already exclusive enough on their own merit, Rolls-Royce is debuting an ultra-limited production version of the Phantom Coupe at Pebble Beach today. With only 35 cars expected to be built, the Rolls-Royce Phantom Coupe Aviator Collection celebrates Charles Stewart Rolls - Rolls-Royce co-founder - who had a passion for flying and was only the second man in Britain to have a pilot's license before his death in 1910.
Unique elements of the Phantom Coupe Aviator Collection include the Aviator Grey exterior hue accented with a matte finish on the grille, hood and window frame. Setting the aeronautical theme of the car, the interior is fitted with exclusive features like the matte-black instrument gauges, an aviation-grade clock in the middle of the dash and a lower dash veneer that mimics the look of an old wooden airplane propeller. Even the transmission tunnel boasts an anodized aluminum cover with exposed torx-head bolts which attempts to match the fuselage of Rolls' award-winning (and Rolls-Royce-powered) Supermarine S6B aircraft.
No detail was overlooked in creating a truly unique atmosphere for the Aviator Collection so much so that it has a leather-lined glove box with the following quote from Rolls himself embossed into it:
"The power of flight is as a fresh gift from the Creator, the greatest treasure yet given to man."Rolls-Royce has not announced any pricing for the 1-of-35 Phantom Coupe Aviator Collection, but you know how the saying goes: "If you have to ask..."
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Rolls-Royce debuts Phantom Coupe Aviator Collection at Pebble Beach originally appeared on Autoblog on Fri, 17 Aug 2012 17:31:00 EST. Please see our terms for use of feeds.
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Monterey: 2013 Viper GTS Launch Edition takes a bow at Quail Motorsports Gathering
Monterey: 2013 Viper GTS Launch Edition takes a bow at Quail Motorsports Gathering:
Filed under: Coupe, Performance
Chrysler took the time to show off the first special edition version of the 2013 SRT Viper. Dipped in the same GTS blue paint as the original Viper, the GTS Launch Edition also wears the same Bright White racing stripes from nose to tail. Chrysler says the combination will only be available on Launch Edition cars and that the final production will be limited. How limited? The company isn't saying, though we imagine you'll need to know your local dealer pretty well to bring one of these machines home.
Inside, each Viper GTS Launch Edition comes with its own dash-mounted identification plaque as well as Black Laguna leather seats with contrast stitching. An Alcantara headliner and white-face guages with silver trim complete the look.
The Launch Edition is the first Viper to wear the redesigned Viper logo. Chrysler calls the design "Stryker," and the newest snake follows in the footsteps of the original "Sneaky Pete" and "Fang" emblems. Check it out in the gallery below.
Filed under: Coupe, Performance
Chrysler took the time to show off the first special edition version of the 2013 SRT Viper. Dipped in the same GTS blue paint as the original Viper, the GTS Launch Edition also wears the same Bright White racing stripes from nose to tail. Chrysler says the combination will only be available on Launch Edition cars and that the final production will be limited. How limited? The company isn't saying, though we imagine you'll need to know your local dealer pretty well to bring one of these machines home.
Inside, each Viper GTS Launch Edition comes with its own dash-mounted identification plaque as well as Black Laguna leather seats with contrast stitching. An Alcantara headliner and white-face guages with silver trim complete the look.
The Launch Edition is the first Viper to wear the redesigned Viper logo. Chrysler calls the design "Stryker," and the newest snake follows in the footsteps of the original "Sneaky Pete" and "Fang" emblems. Check it out in the gallery below.
2013 Viper GTS Launch Edition takes a bow at Quail Motorsports Gathering originally appeared on Autoblog on Sat, 18 Aug 2012 11:25:00 EST. Please see our terms for use of feeds.
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16 août 2012
ETC: Dacia Duster limousine an ambitious student project [w/video]
La limousine low cost :-)
ETC: Dacia Duster limousine an ambitious student project [w/video]:
Filed under: SUV, Europe, Videos, Crossover, Russia, Design/Style, Luxury
The Dacia Duster catches a lot of ire from the the Top Gear boys, but the work of 23 students could (but probably won't) put an end to that. The students are part of Dacia's Engineering Projects Auto Program, and have gone about creating a stretched Dacia Duster.
The team started by cutting the Romanian crossover and adding 59 inches of sheet metal. The result is an Eastern European ute that stretches over 19 feet long!
The Duster is painted in a matte black finish, and the exterior design is capped off with some sort of aluminum side thingy. In the midst of all this customization, the stock wheels were sensibly kept intact.
The cabin has been fitted a television, four captains chairs and an Android tablet. Other interior touches include expansive sunroofs, track lighting and generous heaps of leather.
Check out the fruits of the students' labor in the gallery and check out the video of the stretch-Duster below.
Continue reading Dacia Duster limousine an ambitious student project [w/video]
ETC: Dacia Duster limousine an ambitious student project [w/video]:
Filed under: SUV, Europe, Videos, Crossover, Russia, Design/Style, Luxury
The Dacia Duster catches a lot of ire from the the Top Gear boys, but the work of 23 students could (but probably won't) put an end to that. The students are part of Dacia's Engineering Projects Auto Program, and have gone about creating a stretched Dacia Duster.
The team started by cutting the Romanian crossover and adding 59 inches of sheet metal. The result is an Eastern European ute that stretches over 19 feet long!
The Duster is painted in a matte black finish, and the exterior design is capped off with some sort of aluminum side thingy. In the midst of all this customization, the stock wheels were sensibly kept intact.
The cabin has been fitted a television, four captains chairs and an Android tablet. Other interior touches include expansive sunroofs, track lighting and generous heaps of leather.
Check out the fruits of the students' labor in the gallery and check out the video of the stretch-Duster below.
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Dacia Duster limousine an ambitious student project [w/video] originally appeared on Autoblog on Thu, 16 Aug 2012 08:28:00 EST. Please see our terms for use of feeds.
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15 août 2012
La supersportive polonaise Arrinera s'appellera Hussarya
La supersportive polonaise Arrinera s'appellera Hussarya:
Que de chemin parcouru ! Et tout cela devant nos yeux, en public ! Aïe aïe la bien-pensance va en prendre pour son grade.
Que de chemin parcouru ! Et tout cela devant nos yeux, en public ! Aïe aïe la bien-pensance va en prendre pour son grade.
Review: 2012 Mercedes-Benz CLS63 AMG [w/video]
Review: 2012 Mercedes-Benz CLS63 AMG [w/video]:
Filed under: Sedan, Performance, Mercedes-Benz, New Car Reviews, Luxury
The Original Four-Door Coupe Still Tickles Our Soul
The Mercedes-Benz CLS63 AMG is an Olympic decathlete wearing a hand-tailored tuxedo - its well-rounded performance is every bit as impressive as its physical appearance. Such talent and charm is often acknowledged by the automotive press, but such accolades don't always guarantee a winning combination in the showroom.
But Mercedes-Benz knows its AMG customers, understands what stirs them and realizes how to pry open their checkbooks. The automaker is aware that its affluent clientele don't purchase objectively. Rather, they gaze at the styling, take a deep whiff of the leather interior, grasp and hold the thick steering wheel and absorb the raucous note of the exhaust. A sale isn't far behind.
The sound of signed checks fluttering to the table may be common at the Mercedes-Benz dealership, but how does the CLS63 AMG perform out in the real world? What separates it from its CLS550 sibling? What are its strengths and weaknesses? Most importantly, what makes this iconic seven-year-old four-door coupe unique? We recently spent a week with the CLS63 AMG to figure it out.
Continue reading 2012 Mercedes-Benz CLS63 AMG [w/video]
Filed under: Sedan, Performance, Mercedes-Benz, New Car Reviews, Luxury
The Original Four-Door Coupe Still Tickles Our Soul
The Mercedes-Benz CLS63 AMG is an Olympic decathlete wearing a hand-tailored tuxedo - its well-rounded performance is every bit as impressive as its physical appearance. Such talent and charm is often acknowledged by the automotive press, but such accolades don't always guarantee a winning combination in the showroom.
But Mercedes-Benz knows its AMG customers, understands what stirs them and realizes how to pry open their checkbooks. The automaker is aware that its affluent clientele don't purchase objectively. Rather, they gaze at the styling, take a deep whiff of the leather interior, grasp and hold the thick steering wheel and absorb the raucous note of the exhaust. A sale isn't far behind.
The sound of signed checks fluttering to the table may be common at the Mercedes-Benz dealership, but how does the CLS63 AMG perform out in the real world? What separates it from its CLS550 sibling? What are its strengths and weaknesses? Most importantly, what makes this iconic seven-year-old four-door coupe unique? We recently spent a week with the CLS63 AMG to figure it out.
Continue reading 2012 Mercedes-Benz CLS63 AMG [w/video]
2012 Mercedes-Benz CLS63 AMG [w/video] originally appeared on Autoblog on Wed, 15 Aug 2012 11:57:00 EST. Please see our terms for use of feeds.
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Maybach : Une petite décennie et puis s’en va !
Maybach : Une petite décennie et puis s’en va !:
Relancée en grande pompe par Daimler Benz à l’automne 2002, la firme Maybach devait tout casser sur son passage et notamment Bentley et Rolls Royce. Nous connaissons tous la suite et l’insuccès de la marque sauf au près des rappeurs qui ont fait des Maybach leurs autos fétiches et des pièges à bimbos siliconées ! Pas vraiment dans le créneau de la très sérieuse entreprise Daimler Benz…
Nous savions tous depuis le début de l’année que le sort de Maybach avait été réglé par le directoire du groupe stuttgartois, il manquait la confirmation de l’acte de décès, c’est désormais chose faite via la liste des modèles du groupe qui seront commercialisés en 2013. Les distributeurs Mercedes Benz US l’ont reçu ces derniers jours et il est précisé que les Maybach 57, 57S, 62, 62S et Landaulet sont définitivement arrêtées. Seuls les modèles déjà produits ou en cours de finition seront disponibles à la vente. Pour les autres il faudra attendre l’arrivée de la nouvelle Classe S et de sa version Pullman qui proposera le même standing et la même qualité de fabrication que les Maybach.
Christian Bokich, porte parole du constructeur allemand a même confirmé à Inside Line : »Nous réaffirmons que la firme Maybach et les modèles de ce constructeur seront supprimés à compter de la fin de l’année 2012″. Les choses sont claires et Maybach va retourner au panthéon de l’histoire automobile en accompagnant en cette année 2013 De Tomaso, Saab, TVR.
C’est Rick Ross qui doit être triste…. (un peu comme Swizz Beatz avec Lotus !)
Via InsideLine.
Crédits photos : Maybach.
Source : Blog Automobile Billet : Maybach : Une petite décennie et puis s’en va !
Relancée en grande pompe par Daimler Benz à l’automne 2002, la firme Maybach devait tout casser sur son passage et notamment Bentley et Rolls Royce. Nous connaissons tous la suite et l’insuccès de la marque sauf au près des rappeurs qui ont fait des Maybach leurs autos fétiches et des pièges à bimbos siliconées ! Pas vraiment dans le créneau de la très sérieuse entreprise Daimler Benz…
Nous savions tous depuis le début de l’année que le sort de Maybach avait été réglé par le directoire du groupe stuttgartois, il manquait la confirmation de l’acte de décès, c’est désormais chose faite via la liste des modèles du groupe qui seront commercialisés en 2013. Les distributeurs Mercedes Benz US l’ont reçu ces derniers jours et il est précisé que les Maybach 57, 57S, 62, 62S et Landaulet sont définitivement arrêtées. Seuls les modèles déjà produits ou en cours de finition seront disponibles à la vente. Pour les autres il faudra attendre l’arrivée de la nouvelle Classe S et de sa version Pullman qui proposera le même standing et la même qualité de fabrication que les Maybach.
Christian Bokich, porte parole du constructeur allemand a même confirmé à Inside Line : »Nous réaffirmons que la firme Maybach et les modèles de ce constructeur seront supprimés à compter de la fin de l’année 2012″. Les choses sont claires et Maybach va retourner au panthéon de l’histoire automobile en accompagnant en cette année 2013 De Tomaso, Saab, TVR.
C’est Rick Ross qui doit être triste…. (un peu comme Swizz Beatz avec Lotus !)
Via InsideLine.
Crédits photos : Maybach.
Source : Blog Automobile Billet : Maybach : Une petite décennie et puis s’en va !
14 août 2012
12 août 2012
Macarons aux myrtilles
Macarons aux myrtilles:
Voici une nouvelle variation de macarons estivals. Hors saison, on peut aussi bien utiliser des myrtilles congelées, prises dans la ganache au chocolat blanc, elles ne détrempent pas du tout les macarons.
- 150 g de poudre d'amande
- 150 g de sucre glace
- 50 g de blancs d'oeuf
- 1 pointe de couteau de colorant violet en poudre
- 50 g de blancs d'oeuf
- 150 g de sucre semoule
- 50 g d'eau
Garniture
- 120 g de chocolat blanc
- 150 ml de crème
- environ 200 g de myrtilles
Déroulement :
Garniture
Faire fondre le chocolat 1 minute au micro-ondes. Chauffer les 40 ml de crème restant. L'incorporer en trois fois au chocolat fondu. Ajouter le reste de crème froide. Laisser refroidir, puis mettre au frais au moins 3 heures.
Coques
Monter 50g de blancs en neige. Faire chauffer les 150 g de sucre semoule avec l'eau jusqu'à 110°, verser ce sirop sur les blancs, sans cesser de les fouetter jusqu'à ce que le mélange tiédisse. (Meringue italienne)
Mixer ensemble le sucre glace, la poudre d'amandes et le colorant. Mélanger ces poudres avec les blancs non montés. Incorporer la meringue.
Avec une poche à douille, déposer des petits tas sur une feuille de papier sulfurisé. Laisser sécher au moins 30 minutes. Préchauffer le four à 180°/th6. Enfourner pour 15 minutes et baisser le thermostat à 165°.
(Température et temps de cuisson à ajuster en fonction du four).
A la sortie du four, poser la feuille de cuisson sur un plan de travail humide. Laisser refroidir et décoller les macarons délicatement.
Montage
Fouetter la ganache en chantilly. Garnir les coques de macaron de la moitié de la ganache. Ajouter trois myrtilles par macaron, recouvrir d'une pointe de ganache. Assembler les coques deux par deux. Mettre au frais 24 heures avant de déguster.
Voici une nouvelle variation de macarons estivals. Hors saison, on peut aussi bien utiliser des myrtilles congelées, prises dans la ganache au chocolat blanc, elles ne détrempent pas du tout les macarons.
Macarons aux myrtilles
Préparation :20 min
Cuisson : 16 min
Ingrédients (pour une quarantaine de macarons) :Cuisson : 16 min
- 150 g de poudre d'amande
- 150 g de sucre glace
- 50 g de blancs d'oeuf
- 1 pointe de couteau de colorant violet en poudre
- 50 g de blancs d'oeuf
- 150 g de sucre semoule
- 50 g d'eau
Garniture
- 120 g de chocolat blanc
- 150 ml de crème
- environ 200 g de myrtilles
Déroulement :
Garniture
Faire fondre le chocolat 1 minute au micro-ondes. Chauffer les 40 ml de crème restant. L'incorporer en trois fois au chocolat fondu. Ajouter le reste de crème froide. Laisser refroidir, puis mettre au frais au moins 3 heures.
Coques
Monter 50g de blancs en neige. Faire chauffer les 150 g de sucre semoule avec l'eau jusqu'à 110°, verser ce sirop sur les blancs, sans cesser de les fouetter jusqu'à ce que le mélange tiédisse. (Meringue italienne)
Mixer ensemble le sucre glace, la poudre d'amandes et le colorant. Mélanger ces poudres avec les blancs non montés. Incorporer la meringue.
Avec une poche à douille, déposer des petits tas sur une feuille de papier sulfurisé. Laisser sécher au moins 30 minutes. Préchauffer le four à 180°/th6. Enfourner pour 15 minutes et baisser le thermostat à 165°.
(Température et temps de cuisson à ajuster en fonction du four).
A la sortie du four, poser la feuille de cuisson sur un plan de travail humide. Laisser refroidir et décoller les macarons délicatement.
Montage
Fouetter la ganache en chantilly. Garnir les coques de macaron de la moitié de la ganache. Ajouter trois myrtilles par macaron, recouvrir d'une pointe de ganache. Assembler les coques deux par deux. Mettre au frais 24 heures avant de déguster.
La Traversée de Paris : objects in mirror are older than they appear
La Traversée de Paris : objects in mirror are older than they appear:
Dimanche 29 juillet avait lieu la Traversée de Paris, rassemblement de voitures de collection. Au départ de l’esplanade du Château de Vincennes, le parcours chemine à travers la Capitale et se donne rendez-vous pour un piquenique sur la pelouse de l’Observatoire de Meudon dans les Hauts-de-Seine. Et comme on n’a qu’une vie (et d’aimables amis), Blog Automobile y a participé cette année : récit d’une traversée en anciennes. Et pas n’importe lesquelles.
En effet, de mon expatriation et de mes voyages dans l’ex-Tchécoslovaquie, j’ai gardé une certaine tendresse pour les Škoda à moteur arrière et surtout la frustration de n’en avoir jamais conduit. Sans le savoir, l’ami Dominique me fait une proposition aussi inattendue que charitable : participer à la Traversée de Paris en Škoda 1000 MBG de 1967. A nos actes manqués, autant dire que j’accueille son offre avec un grand sourire. Pour couronner le tout, il me propose également d’essayer une de ses DAF. Un clin d’œil à ma famille du côté d’Eindhoven. Il aurait difficilement pu viser plus juste.
Rendez-vous est donné à deux pas d’un diners américain de Boulogne pour prendre le volant de la tchécoslovaque, tandis que mon escorte est assurée par deux DAF : 46 et 33. Notre but ? Filer en convoi vers le Château de Vincennes d’où part l’événement. Dominique me briefe rapidement sur mon destrier de l’économie planifiée : passé l’amusement de voir un comodo de clignotants à l’étrange ergonomie (il faut faire pivoter le bout dudit comodo), je boucle ma ceinture (dépourvue d’enrouleur) sur un point d’ancrage aussi peu rassurant que la police d’Etat tchécoslovaque. Enfin, le freinage n’est pas le point fort d’une voiture de collection. Je suis incité à anticiper et utiliser le frein moteur. Direction le périphérique : première, le point de patinage est délicat tandis que la voiture se meut avec autant d’énergie qu’un bureaucrate soviétique. Seconde, ça va un peu mieux, le 1000 ccm révèle un peu plus de sa « puissance », troisième, je commence à rattraper les DAF. Feu rouge, on recommence. A l’instar des Porsche 911, Ferrari 458 ou autres Lamborghini, le moteur est à l’arrière. La comparaison s’arrêtant là. La sonorité, quant à elle, évoque plutôt les DAF contemporaines (i.e. les poids-lourds)… Arrivé sur le périph’, je passe la quatrième avec un semblant d’assurance tandis que le poids contenu et les 46 ch (double carbu, s’il vous plaît) m’évitent de rétrograder. Les dépassements exigent une certaine dose de concentration et de mouvement de l’encéphale : le rétro gauche vibre atrocement tandis que le droit est aussi absent qu’un parti d’opposition du temps de Novotný. Un véhicule (moderne) en panne nous oblige à nous arrêter : l’occasion de voir que la voiture ralentit plus qu’elle ne freine réellement. Suffit d’anticiper. Au fur et à mesure que Vincennes approche, nous voici entourés d’autres anciennes.
Fort heureusement, Dominique me propose de prendre le volant de la DAF 46 comme solution de repli ; un modèle 1976 qui, outre l’année de mariage de mes parents, est aussi la dernière année des VP de DAF, les voitures étant systématiquement badgées Volvo à partir de l’année suivante. La Volvo 340 est ainsi à la DAF 77 ce que la Peugeot 309 est à la Talbot Arizona. La Traversée continue, donc, avec cette DAF 46 break bicylindre et son Variomatic (boite automatique à variateur). La dernière fois que j’ai conduit ce genre de transmission, c’était sur une Mercedes Classe A, dotée de deux fois plus de cylindres. Point de sélecteur PRND comme on l’entend de nos jours mais une position N centrale secondée par un D lorsque l’on pousse le sélecteur vers l’avant et un R dans le sens opposé. La boite manifeste bruyamment sa désapprobation lorsque l’on tente de manipuler le levier autrement qu’au ralenti. Comparée à la Škoda, la DAF présente une grande facilité de conduite, une ergonomie plus contemporaine. Seule la transmission un peu capricieuse requiert de jouer du starter pour éviter de caler à chaque feu rouge. La voiture n’est plus toute neuve, vous vous en doutez… Direction Bastille où les deux DAF semblent susciter une certaine tendresse de la part des autres participants tandis qu’un possesseur de Jaguar Type E nous avoue avoir également une DAF. A mesure que nous approchons de la Place de la Concorde, je n’ai de cesse de déclencher l’inopportun « stop & start » de la voiture… J’aurais rarement autant calé dans ma vie d’automobiliste ; ironie du sort, c’est en boite automatique.
Arrivé à la Concorde, les voitures font une brève halte. C’est le moment de faire le tour de quelques unes des 650 voitures engagées. Si certaines nous sont plus ou moins familières, d’autres sont d’une grande rareté à l’image d’une Bricklin SV1, seul exemplaire immatriculé en France d’après son propriétaire, étonné que je connaisse son véhicule. Il ne me connaissait visiblement pas. Françaises, américaines, italiennes, allemandes, suédoises, anglaises, il y en a pour tous les goûts et tous les âges. Nos néerlandaises n’échappent pas aux touristes japonais chez qui les DAF n’ont jamais été importées, à l’image de bien des voitures présentes à la Traversée de Paris. Il est temps de filer à Montmartre avant que les accès ne soient restreints à la circulation piétonne. Mon inquiétant stop & start n’a de cesse de ponctuer mes arrêts aux feux rouges. Bien que citroéniste, je remonte la rue Lepic, jusqu’à ce qu’une impudente Ypsilon ne veuille faire un créneau. Soit. Je tire le sélecteur sur R dans un angoissant fracas. Je repasse sur D le moment venu. Ou tout du moins, j’essaie. Un effroyable bruit me fait comprendre que la DAF sera moins coopérative que prévu. Impossible d’avancer. Avec ou sans frein à main, avec ou sans l’aide de bons samaritains pour pousser dans cette côte, la voiture ne veut rien entendre. Le propriétaire arrive et le verdict tombe : l’arbre de transmission a rendu l’âme. Gotverdome ! Deux voitures, deux échecs. A deux pas du Chat Noir, ça ne s’invente pas.
La suite de déroule à l’arrière de la DAF 33, survivante (à condition de ne pas couper le contact, la batterie étant morte…). Quelle aventure, pour paraphraser Albert Tjamag. On poursuit la Traversée en direction de l’Etoile, des Invalides, du Trocadéro et surtout du Grand Palais où les voitures font un sympathique clin d’œil à l’ancien temple du Salon de l’Automobile. Pour finir, nous arrivons sans autre panne sur la pelouse de l’Observatoire de Meudon d’où l’on peut contempler Paris ainsi que la multitude de voitures participantes à l’événement. L’occasion aussi pour le public de voir de près un pan du patrimoine automobile du siècle précédent. Et tant pis si la Škoda refusait de s’arrêter, tant pis si la DAF refusait d’avancer, force est de constater que la Traversée de Paris était un formidable événement. Tandis que la DAF a pu être remorquée, la Škoda a retrouvé l’usage de ses freins. Quant à moi, j’ai pu rentrer en Modus puis en Mondeo le soir même sans tomber en panne. Et si ce n’était pas moi le chat noir ? Place aux photos.
Source : Blog Automobile Billet : La Traversée de Paris : objects in mirror are older than they appear
Dimanche 29 juillet avait lieu la Traversée de Paris, rassemblement de voitures de collection. Au départ de l’esplanade du Château de Vincennes, le parcours chemine à travers la Capitale et se donne rendez-vous pour un piquenique sur la pelouse de l’Observatoire de Meudon dans les Hauts-de-Seine. Et comme on n’a qu’une vie (et d’aimables amis), Blog Automobile y a participé cette année : récit d’une traversée en anciennes. Et pas n’importe lesquelles.
En effet, de mon expatriation et de mes voyages dans l’ex-Tchécoslovaquie, j’ai gardé une certaine tendresse pour les Škoda à moteur arrière et surtout la frustration de n’en avoir jamais conduit. Sans le savoir, l’ami Dominique me fait une proposition aussi inattendue que charitable : participer à la Traversée de Paris en Škoda 1000 MBG de 1967. A nos actes manqués, autant dire que j’accueille son offre avec un grand sourire. Pour couronner le tout, il me propose également d’essayer une de ses DAF. Un clin d’œil à ma famille du côté d’Eindhoven. Il aurait difficilement pu viser plus juste.
Rendez-vous est donné à deux pas d’un diners américain de Boulogne pour prendre le volant de la tchécoslovaque, tandis que mon escorte est assurée par deux DAF : 46 et 33. Notre but ? Filer en convoi vers le Château de Vincennes d’où part l’événement. Dominique me briefe rapidement sur mon destrier de l’économie planifiée : passé l’amusement de voir un comodo de clignotants à l’étrange ergonomie (il faut faire pivoter le bout dudit comodo), je boucle ma ceinture (dépourvue d’enrouleur) sur un point d’ancrage aussi peu rassurant que la police d’Etat tchécoslovaque. Enfin, le freinage n’est pas le point fort d’une voiture de collection. Je suis incité à anticiper et utiliser le frein moteur. Direction le périphérique : première, le point de patinage est délicat tandis que la voiture se meut avec autant d’énergie qu’un bureaucrate soviétique. Seconde, ça va un peu mieux, le 1000 ccm révèle un peu plus de sa « puissance », troisième, je commence à rattraper les DAF. Feu rouge, on recommence. A l’instar des Porsche 911, Ferrari 458 ou autres Lamborghini, le moteur est à l’arrière. La comparaison s’arrêtant là. La sonorité, quant à elle, évoque plutôt les DAF contemporaines (i.e. les poids-lourds)… Arrivé sur le périph’, je passe la quatrième avec un semblant d’assurance tandis que le poids contenu et les 46 ch (double carbu, s’il vous plaît) m’évitent de rétrograder. Les dépassements exigent une certaine dose de concentration et de mouvement de l’encéphale : le rétro gauche vibre atrocement tandis que le droit est aussi absent qu’un parti d’opposition du temps de Novotný. Un véhicule (moderne) en panne nous oblige à nous arrêter : l’occasion de voir que la voiture ralentit plus qu’elle ne freine réellement. Suffit d’anticiper. Au fur et à mesure que Vincennes approche, nous voici entourés d’autres anciennes.
The West is the best. Get here and we’ll do the rest.
Nous rejoignons alors une joyeuse réunion de voitures d’époques hétéroclites issues de différents pays. Les participants sont cette année tout de blanc vêtus et les dames en chapeau pour ajouter au folklore. Tandis que la rétine se délecte de ce parc automobile nettement moins grisonnant que la sempiternelle faune contemporaine de vos Clio, 207 et Golf, nous décorons la Škoda des drapeaux tchèque et slovaque, faute d’étendard tchécoslovaque à la maison. Nous nous apprêtons alors à traverser Paris. Premier freinage : je manque de peu de faire la bise au pare-choc d’une Triumph… Fichtre, aurais-je été optimiste ? Le second freinage me sert de réponse : la Škoda continue sa course en direction d’une superbe DS Chapron décapotable. Ne pouvant faire de mal à une Citroën, je choisis le coup de volant en direction de la file inverse, heureusement vide. Mon passager me souffle l’idée du frein à main : la pédale du milieu restant sans réponse. J’ai donc officiellement perdu les freins… Do piče, kurva ! Il est temps de garer la voiture avant de risquer de compromettre quoi que ce soit.Fort heureusement, Dominique me propose de prendre le volant de la DAF 46 comme solution de repli ; un modèle 1976 qui, outre l’année de mariage de mes parents, est aussi la dernière année des VP de DAF, les voitures étant systématiquement badgées Volvo à partir de l’année suivante. La Volvo 340 est ainsi à la DAF 77 ce que la Peugeot 309 est à la Talbot Arizona. La Traversée continue, donc, avec cette DAF 46 break bicylindre et son Variomatic (boite automatique à variateur). La dernière fois que j’ai conduit ce genre de transmission, c’était sur une Mercedes Classe A, dotée de deux fois plus de cylindres. Point de sélecteur PRND comme on l’entend de nos jours mais une position N centrale secondée par un D lorsque l’on pousse le sélecteur vers l’avant et un R dans le sens opposé. La boite manifeste bruyamment sa désapprobation lorsque l’on tente de manipuler le levier autrement qu’au ralenti. Comparée à la Škoda, la DAF présente une grande facilité de conduite, une ergonomie plus contemporaine. Seule la transmission un peu capricieuse requiert de jouer du starter pour éviter de caler à chaque feu rouge. La voiture n’est plus toute neuve, vous vous en doutez… Direction Bastille où les deux DAF semblent susciter une certaine tendresse de la part des autres participants tandis qu’un possesseur de Jaguar Type E nous avoue avoir également une DAF. A mesure que nous approchons de la Place de la Concorde, je n’ai de cesse de déclencher l’inopportun « stop & start » de la voiture… J’aurais rarement autant calé dans ma vie d’automobiliste ; ironie du sort, c’est en boite automatique.
Arrivé à la Concorde, les voitures font une brève halte. C’est le moment de faire le tour de quelques unes des 650 voitures engagées. Si certaines nous sont plus ou moins familières, d’autres sont d’une grande rareté à l’image d’une Bricklin SV1, seul exemplaire immatriculé en France d’après son propriétaire, étonné que je connaisse son véhicule. Il ne me connaissait visiblement pas. Françaises, américaines, italiennes, allemandes, suédoises, anglaises, il y en a pour tous les goûts et tous les âges. Nos néerlandaises n’échappent pas aux touristes japonais chez qui les DAF n’ont jamais été importées, à l’image de bien des voitures présentes à la Traversée de Paris. Il est temps de filer à Montmartre avant que les accès ne soient restreints à la circulation piétonne. Mon inquiétant stop & start n’a de cesse de ponctuer mes arrêts aux feux rouges. Bien que citroéniste, je remonte la rue Lepic, jusqu’à ce qu’une impudente Ypsilon ne veuille faire un créneau. Soit. Je tire le sélecteur sur R dans un angoissant fracas. Je repasse sur D le moment venu. Ou tout du moins, j’essaie. Un effroyable bruit me fait comprendre que la DAF sera moins coopérative que prévu. Impossible d’avancer. Avec ou sans frein à main, avec ou sans l’aide de bons samaritains pour pousser dans cette côte, la voiture ne veut rien entendre. Le propriétaire arrive et le verdict tombe : l’arbre de transmission a rendu l’âme. Gotverdome ! Deux voitures, deux échecs. A deux pas du Chat Noir, ça ne s’invente pas.
La suite de déroule à l’arrière de la DAF 33, survivante (à condition de ne pas couper le contact, la batterie étant morte…). Quelle aventure, pour paraphraser Albert Tjamag. On poursuit la Traversée en direction de l’Etoile, des Invalides, du Trocadéro et surtout du Grand Palais où les voitures font un sympathique clin d’œil à l’ancien temple du Salon de l’Automobile. Pour finir, nous arrivons sans autre panne sur la pelouse de l’Observatoire de Meudon d’où l’on peut contempler Paris ainsi que la multitude de voitures participantes à l’événement. L’occasion aussi pour le public de voir de près un pan du patrimoine automobile du siècle précédent. Et tant pis si la Škoda refusait de s’arrêter, tant pis si la DAF refusait d’avancer, force est de constater que la Traversée de Paris était un formidable événement. Tandis que la DAF a pu être remorquée, la Škoda a retrouvé l’usage de ses freins. Quant à moi, j’ai pu rentrer en Modus puis en Mondeo le soir même sans tomber en panne. Et si ce n’était pas moi le chat noir ? Place aux photos.
Suspension hydraulique, toit ouvrant panoramique… Take note, Citroën.
Photos : Eric E., Jérémy Cez et Dominique W. Jacson, que je remercie au passage pour l’aimable prêt de ses voitures ainsi que cette épique Traversée.Source : Blog Automobile Billet : La Traversée de Paris : objects in mirror are older than they appear
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